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2014La Sarkronique du mois de Juillet 2014 SELECT * FROM `sarko`
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Comptes de campagne de Sarkozy : enquête sur un possible « abus de confiance » | LeMonde.fr Trouver l'article | | Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur le paiement par l'UMP des pénalités infligées à Nicolas Sarkozy après l'invalidation de ses comptes de campagne présidentielle de 2012, indiquent plusieurs sources judiciaires citées anonymement par l'AFP, lundi 7 juillet.
Cette enquête, ouverte le 2 juillet, vise un éventuel « abus de confiance » la complicité et le recel de ces délits au préjudice de l'UMP, qui avait réglé la facture à la place du candidat. | Date : 07 / 07 / 2014 | | | Après une journée de garde à vue dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, Nicolas Sarkozy a été mis en examen pour « corruption active », « trafic d'influence » et « recel de violation du secret professionnel » dans la nuit du mardi 1er au mercredi 2 juillet dans le cadre d'une enquête sur un trafic d'influence présumé.
L'ex-chef de l'Etat s'exprimera, mercredi à 20 heures, sur TF1 et Europe 1, sa première interview depuis qu'il a quitté ses fonctions.
Auparavant, son avocat, Me Thierry Herzog, et le haut magistrat Gilbert Azibert, avocat général près la Cour de cassation, avaient eux aussi été mis en examen. Mis en garde à vue mardi à 8 heures, M. Sarkozy a quitté vers 23 h 30 les locaux de la police judiciaire de Nanterre pour être présenté aux juges. Il a ensuite quitté le bureau des juges vers 2 heures du matin, 18 heures après le début de sa garde à vue. | Date : 02 / 07 / 2014 | | Affaire des écoutes : pourquoi Sarkozy est placé en garde à vue | LeMonde.fr Trouver l'article | | Pour la première fois dans l'histoire de la Ve République, un ancien chef de l'Etat est en garde à vue. C'est sous ce régime coercitif que Nicolas Sarkozy est interrogé depuis mardi 1er juillet au matin. Comme Le Monde l'avait révélé la veille, M. Sarkozy avait été convoqué à Nanterre (Hauts-de-Seine), au siège de l'office central de lutte contre la corruption les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) de la direction centrale de la police judiciaire.
L'ancien président de la République a rejoint dans les locaux de la police son avocat, Me Thierry Herzog, et deux hauts magistrats de la Cour de cassation, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust, eux-mêmes placés en garde à vue dès lundi matin. Les quatre hommes sont tous interrogés dans le cadre de l'enquête pour « trafic d'influence » et « violation du secret de l'instruction » menée par les juges d'instruction Patricia Simon et Claire Thépaut, du pôle financier du tribunal de grande instance de Paris.
Les magistrates, qui mènent leurs investigations dans la plus grande discrétion, enquêtent sur un réseau d'informateurs susceptible d'avoir renseigné les proches de M. Sarkozy, voire l'ancien président de la République lui-même, dans les procédures judiciaires pouvant le menacer, en particulier le dossier Bettencourt.
[...] | Date : 01 / 07 / 2014 | |
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