SELECT num, jour, mois, an FROM `sarko` WHERE num = ( SELECT MAX(num) FROM `sarko` )
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La Sarkronique : Les chroniques quotidiennes des aventures de notre président Nicolas Sarkozy


Derniere mise à jour le : 20 / 03 / 2018
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SELECT DISTINCT an, mois FROM `sarko` ORDER BY an, mois ASC
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2009

La Sarkronique du mois de Septembre 2009

SELECT * FROM `sarko` WHERE mois = '09' AND an = '2009' ORDER BY an, mois, jour ASC
Nb Result = 7
«Quand Sarkozy prononce le mot “Clearstream”, sa physionomie change»
LeFigaro.fr Trouver l'article
Voici les principaux extraits des déclarations de Dominique de Villepin devant le tribunal correctionnel.
• Le tête-à-tête du 1er janvier 2004 avec Jean-Louis Gergorin.
«Je suis dans mon bureau, au Quai d'Orsay. Un huissier me demande si je suis prêt à recevoir Jean-Louis Gergorin. Il était en train d'organiser, avec mon cabinet, un déjeuner avec Henry Kissinger. Je le reçois une quinzaine de minutes. Il évoque divers sujets, dont la situation au sein d'EADS et, à la fin, l'existence d'un système occulte qui le préoccupe et qui est dans les mains du général Rondot, chargé d'une enquête par le ministère de la Défense. Je demande à mon secrétariat d'organiser une réunion avec le général Rondot pour connaître les éventuels prolongements internationaux, c'est une question vitale.»
• La réunion du 9 janvier 2004 avec Jean-Louis Gergorin et le général Rondot.
«Jean-Louis Gergorin s'empare de la parole, et se lance dans un exposé long, assez décousu. Le général Rondot estime qu'il est nécessaire d'approfondir, présentant l'importance de ce système inquiétant. Je l'encourage en ce sens et conclus en rappelant que la prudence est nécessaire. Je m'inscrivais dans le cadre des grandes orientations données par le président de la République dans le cadre de la moralisation de la finance internationale. A aucun moment je ne mentionne des “instructions” du chef de l'Etat. Je lui ai rendu compte quelques jours après, spécifiant que le général Rondot enquêtait. Je ne cherche pas à “couvrir” M. Chirac, mais il n'y a jamais eu d'instructions présidentielles dans ce dossier. Il n'a par ailleurs, à aucun moment, été fait référence à Nicolas Sarkozy en liaison avec le système occulte. Son nom a été évoqué en tant que ministre de l'Intérieur. Je sais qu'il existe des rivalités entre services, c'est la raison pour laquelle il a été décidé qu'il n'était pas opportun, à ce stade, de communiquer les éléments à l'Intérieur.»
Date : 30 / 09 / 2009

Le lapsus qui perturbe Nicolas Sarkozy
LExpress.fr Trouver l'article
En laissant échapper le terme de "coupable" en pleine affaire Clearstream, le président s'est d'abord piégé lui-même.
Il s'en est fallu de trois lettres. Le 23 septembre, à la télévision, Nicolas Sarkozy a évité de justesse un autre énorme lapsus. Juste après avoir évoqué Clearstream, il est interrogé sur l'immigration. Il explique alors que les tests ADN ne sont utiles "ni en termes de droits pour les uns ni en termes de protection du tribu..., du territoire français". Le chef de l'Etat était à deux doigts de parler, de nouveau, du "tribunal". Comme une véritable obsession.
Quelques instants plus tôt, en désignant les "coupables", celui qui est, de fait, une victime de cette affaire s'est lui-même mis dans la situation d'accusé. Accusé de peser sur le cours de la justice, dont il est, selon les termes de la Constitution, "le garant de l'indépendance". Accusé, donc, de confondre sa situation personnelle et sa fonction présidentielle -Dominique de Villepin l'a assigné pour atteinte à la présomption d'innocence. "Ce n'était pas un lapsus, c'est ce qu'il pense réellement", confie l'un des proches du chef de l'Etat. Devant les dirigeants de l'UMP, réunis le 28 septembre, le président ne s'est pas rétracté, loin de là: "Il y a quand même deux personnes (Jean-Louis Gergorin et Imad Lahoud, nldr) qui ont avoué et qui sont donc coupables! Après, il faut savoir qui a tiré les ficelles..."
"A cran dès qu'on aborde ce sujet"
Date : 29 / 09 / 2009

Chronologie de l'affaire Clearstream
LExpress.fr Trouver l'article
A quelques jours de l'ouverture du procès Clearstream, rappel des principales dates de l'affaire, une dénonciation calomnieuse visant des personnalités, dont Nicolas Sarkozy, censées détenir des comptes bancaires secrets à l'étranger via la chambre de compensation luxembourgeoise Clearstream.
Date : 21 / 09 / 2009

Clearstream : nouveau témoignage, nouvel éclairage
LeMonde.fr Trouver l'article
Le site Internet Médiapart a recueilli le témoignage inédit du beau-frère de Dominique de Villepin, Michel Piloquet, qui pourrait apporter un éclairage nouveau sur l'affaire Clearstream.
Ce chef d'entreprise déclare avoir fréquenté amicalement Imad Lahoud entre 1998 et 2004. En mars de cette même année, il déclare avoir surpris Imad Lahoud "en train de 'pirater' son ordinateur, en compagnie d'une stagiaire. Celle-ci est la fille de François Casanova, un policier des RG (aujourd'hui décédé) qui était en rapports étroits avec Imad Lahoud entre 2002 et 2004. François Casanova était un homme de confiance du n° 2 des RG, Bernard Squarcini, lui-même proche de Nicolas Sarkozy". Le nom de Nicolas Sarkozy est apparu sur les listings Clearstream à cette période.
Date : 21 / 09 / 2009

La France veut exporter le rapport Stiglitz
Challenges.fr Trouver l'article
La commission sur les nouveaux indicateurs de croissance économique a remis son rapport à Nicolas Sarkozy lundi matin.
La commission Stiglitz, chargée de réfléchir à la mesure de la croissance économique, a rendu son rapport à Nicolas Sarkozy, lundi 14 septembre à Paris. Constituée en février 2008 à l'initiative de l'Elysée et composée de 22 experts, elle avait pour mission d'identifier et de pallier les limites du produit intérieur brut (PIB) comme indicateur de performance économique et de progrès social.
Le chef de l'Etat a déclaré que "la France se battra pour que toutes les organisations internationales modifient leur système statistique en suivant les recommandations" de la commission. "Une réflexion collective est désormais engagée, elle ne s'arrêtera pas" et il "y aura un avant et un après cette commission", a promis Nicolas Sarkozy.
Date : 14 / 09 / 2009

Quand l'UMP cafouille pour justifier les propos de Brice Hortefeux
20Minutes.fr Trouver l'article
DECRYPTAGE - Clichés, Arabes, Auvergnats... mais de qui parlait-il vraiment?
Les propos de Brice Hortefeux lors de l’université d’été des jeunes populaires, à Seignosse, le week-end dernier ne cessent d’être décortiqués. Les explications se suivent mais ne se ressemblent pas.
1- Il ne parle pas des Arabes mais des clichés
2- Il ne parle ni des Arabes, ni des clichés mais des Auvergnats
3- En fait, il parlait à une autre personne, hors champ
4 - Ah ben si, c’était bien sur les photos
5- En fait, c’est pas la même conversation
6 - Si on reprend le verbatim, difficile de croire qu’il parle des clichés ou des Auvergnats...
Date : 11 / 09 / 2009

Le grand emprunt de M. Sarkozy révèle sa vraie nature, par Françoise Fressoz
LeMonde.fr Trouver l'article
Un certain scepticisme - pour ne pas dire plus - avait accueilli l'annonce du grand emprunt faite le 22 juin par Nicolas Sarkozy dans son discours au Congrès. Le montant de la dette publique - 1 414 milliards d'euros en juin, selon les chiffres de l'Insee -, le niveau du déficit budgétaire, qui a doublé en un an, pour franchir, le 31 juillet, la barre symbolique des 100 milliards d'euros, le déséquilibre des comptes sociaux, qui se dégradent sous l'effet de la crise, toutes ces données faisaient craindre à beaucoup une nouvelle fuite en avant. Dans les ministères, au Parlement, les "orthodoxes" s'inquiétaient du retour en force du conseiller spécial du président, Henri Guaino. Cet ancien séguiniste, grand pourfendeur de la fracture sociale, a le don de prendre à rebrousse-poil ceux qui ne croient pas à son pari que les investissements de demain financeront les dettes d'hier et d'aujourd'hui.
Deux mois et demi plus tard, les inquiets peuvent se rassurer. L'emprunt ne sera probablement ni le grand événement financier annoncé, ni la fuite en avant redoutée. Il s'apparente davantage à une opération politique destinée à gérer la phase délicate dans laquelle se trouve le chef de l'Etat. En ce mois de septembre, M. Sarkozy doit préparer la sortie de crise, alors que les Français souffrent encore de celle-ci, et il doit le faire alors qu'il est déjà entré en campagne : derrière le scrutin régional de mars 2010 se profile la présidentielle de 2012, pour laquelle la machine UMP commence déjà à se mobiliser.
Date : 10 / 09 / 2009



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