SELECT num, jour, mois, an FROM `sarko` WHERE num = ( SELECT MAX(num) FROM `sarko` )
Nb Result = 1

La Sarkronique : Les chroniques quotidiennes des aventures de notre président Nicolas Sarkozy


Derniere mise à jour le : 20 / 03 / 2018
MENU
SELECT DISTINCT an, mois FROM `sarko` ORDER BY an, mois ASC
Nb Result = 33
Introduction
2018
Mars
2017
Octobre
2016
Novembre
Octobre
2015
Mai
Avril
2014
Novembre
Juillet
Mars
2013
Mars
Janvier
2010
Avril
2009
Décembre
Novembre
Octobre
Septembre
Août
Juillet
Juin
Mai
Avril
Mars
Février
Janvier
2008
Décembre
Novembre
Octobre
Septembre
Juillet
Juin
Mars
Février
Janvier

Tout
2009

La Sarkronique du mois de Juillet 2009

SELECT * FROM `sarko` WHERE mois = '07' AND an = '2009' ORDER BY an, mois, jour ASC
Nb Result = 8
Nicolas Sarkozy promet la transparence sur sa santé
LExpress.fr Trouver l'article
PARIS - Nicolas Sarkozy promet la transparence sur sa santé, trois jours après le malaise dont il a été victime et qui a quelque peu écorné son image d'"hyperprésident" hyperactif et infatigable.
Le chef de l'Etat a donné une conférence de presse inopinée et sans précédent à l'issue du dernier conseil des ministres avant les vacances, seul, au bas du perron de l'Elysée, usant du ton de la confidence comme pour humaniser cette image.
"Je voulais dire aux Français que ma santé était bonne, que j'avais eu un coup de fatigue", a-t-il déclaré, soulignant que les examens approfondis subis pendant 24 heures à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce ont conclu qu'il n'avait "rien".
"Simplement, il faut que je me repose", a ajouté Nicolas Sarkozy, qui a qualifié son malaise de simple "panne d'essence" comme il en arrive à chacun.
"C'est normal que pour moi ça ait plus de conséquences dans la mesure où je suis président de la République", a-t-il admis. "Cette partie-là de ma vie appartient aussi à la Nation, en ce sens que je la conduis et que je dois rendre des comptes."
Nicolas Sarkozy a assuré que si on lui avait "trouvé quelque chose", il l'aurait dit. "Je vous demande de me croire", a-t-il juré, en réponse aux rumeurs sur la gravité de son malaise malgré les trois communiqués publiés en 24 heures par l'Elysée.
Une façon aussi de rompre avec ses prédécesseurs, en particulier Georges Pompidou et François Mitterrand qui ont caché des années durant le cancer qui les a emportés.
Nicolas Sarkozy a dit n'avoir rien voulu dissimuler de son malaise, auxquels plusieurs témoins ont assisté de loin, dans le parc du château de Versailles : "J'ai voulu en temps réel qu'on dise aux Français la vérité sur l'incident qui m'est arrivé."
"Je dois cette transparence", a insisté le chef de l'Etat, qui a regretté, dans un rare mea culpa, ne pas avoir eu le même scrupule lors de sa précédente hospitalisation, le 21 octobre 2007, pour l'opérat
Date : 29 / 07 / 2009

"Les nouvelles du corps médical sont bonnes", selon Devedjian
LeMonde.fr Trouver l'article
"Les nouvelles du corps médical sont bonnes, il sort aujourd'hui", a assuré, lundi 27 juillet sur RTL le ministre de la relance, Patrick Devedjian , au lendemain du malaise de Nicolas Sarkozy, qui a entraîné son hospitalisation. Le président a "passé une bonne nuit", a ajouté dans la matinée un proche du chef de l'Etat, confirmant qu'"il quitterait le Val-de-Grâce dans la journée".
Nicolas Sarkozy faisait un jogging à proximité de la résidence officielle de la Lanterne, à Versailles, lorsqu'il a victime d'un malaise. La nature de ce malaise n'est pas connue. Le député-maire UMP de Levallois-Perret et ami de Nicolas Sarkozy, Patrick Balkany, parlait dimanche d'"un malaise vagal". Lundi, un proche du président a évoqué un "malaise à l'effort". "C'est l'expression que [les médecins qui le soignent à l'hôpital parisien du Val-de-Grâce] employaient hier", a-t-il assuré.
Nicolas Sarkozy est hospitalisé à Paris jusqu'à lundi matin, pour poursuivre "la surveillance cardiologique, systématiquement pratiquée dans de telles circonstances", et des examens médicaux, qui ont jusqu'ici donné des résultats "normaux", a annoncé l'Elysée dans un communiqué, dimanche 26 juillet, en début de soirée. Hospitalisé à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à la mi-journée après avoir été victime d'un malaise vers 13 h 30, le président français "va bien" et "parle normalement avec le personnel soignant", selon Claude Guéant, secrétaire général l'Elysée. "Il a été immédiatement pris en charge par son médecin", précise la présidence dans un communiqué. Le premier ministre, François Fillon, qui se trouvait dans la Sarthe, est rentré à Paris en urgence.
UN BULLETIN DE SANTÉ NORMAL DÉBUT JUILLET
[...]
VŒUX UNANIMES DE RÉTABLISSEMENT
[...]
Date : 27 / 07 / 2009

www.sarkozy.fr victime de "Google bombing"
@rrêt sur images Trouver l'article
C'est le buzz du moment sur internet : "Tapez la requête "trou du cul du web" dans Google, et admirez le résultat... " Depuis le 20 juillet environ, la réponse qui apparaît (pour l'instant) en tête renvoie au site www.sarkozy.fr, le site de campagne de Nicolas Sarkozy. Simple hasard ou aberration du moteur de recherche américain ? Absolument pas.
Google l'explique depuis hier dans un communiqué officiel, il s'agit d'un "Google bombing" - comprenez "bombardement de Google". Une attaque volontaire, donc, doublée d'un humour potache.
Date : 24 / 07 / 2009

Le vote sur Hadopi 2 repoussé à septembre
LeMonde.fr Trouver l'article
C'était une éventualité, le président de l'Assemblée nationale, Bernard Accoyer, l'a confirmé mardi 21 juillet dans la matinée : le vote sur le projet de loi Hadopi 2 sur le téléchargement illégal est repoussé à septembre.
Le calendrier parlementaire était serré : pour cause de travaux d'aménagement à l'Assemblée, la session ne pouvait se prolonger au-delà du 24 juillet. L'opposition ayant déposé plus de huit cents amendements sur le texte, il semblait difficile de parvenir à un vote avant cette date butoir.
ABSENCES DE PARLEMENTAIRES UMP
L'examen par la commission des affaires culturelles de l'Assemblée nationale des tout derniers amendements au texte, prévu mardi matin, avait dû être reporté à 14 heures, faute d'un nombre suffisant de députés UMP présents. "La présidente de la commission [des affaires culturelles] a levé la séance à 9 h 20 faute de majorité (...) nous y voyons un signe", a souligné dans l'Hémicycle le député socialiste Patrick Bloche, insistant sur "la faible mobilisation de la majorité sur ce texte". "Le président a dit qu'il voulait aller jusqu'au bout sur ce texte, sa majorité ne semble pas prête à le suivre", a-t-il insisté.
Le projet de loi a soulevé un débat y compris au sein de la majorité, plusieurs députés UMP considérant que la haute autorité constituait une réponse inefficace au téléchargement illégal.
Date : 21 / 07 / 2009

Sarkozy travaille son image de leader «apaisé»
LeFigaro.fr Trouver l'article
Optant pour plus de discrétion et de patience, le chef de l'État a rompu avec le style du début de son quinquennat.
Le 24 juillet 2008, Nicolas Sarkozy savourait sa victoire dans la bataille de la réforme des institutions. Un an après, le chef de l'État se retrouve face à une opposition totalement désorientée.
Certes, avec un peu plus de 40 % d'approbation en moyenne, selon les sondages, le président reste toujours minoritaire dans l'opinion, sous la barre des 50 % pour le dix-neuvième mois consécutif dans le baromètre Ifop/JDD. Mais cela ne l'empêche pas de dominer très largement le pack de ses poursuivants. «En ce moment, pour Nicolas, tout est amour !», ironisait récemment l'un de ses visiteurs du soir. En un peu plus d'un mois et demi, Nicolas Sarkozy a même réussi l'opération «changement d'image» à laquelle il travaille en réalité depuis la fin du printemps 2008. «Zen», «serein», «apaisé», «calme» sont les adjectifs qui reviennent dans la bouche de ceux qui le voient régulièrement. Et lui-même le répète constamment.
Simple plan média orchestré par l'Élysée ? Le chef de l'État a réellement évolué vers plus de discrétion et de patience. «Vous ne devenez pas président de la République au moment de l'élection ! Ni bon conducteur quand vous réussissez votre permis», résume l'un de ses proches conseillers. Cela ne veut pas dire que Nicolas Sarkozy a effacé des mémoires le fameux dîner au Fouquet's, le soir de son élection. Mais, depuis quelques mois, Nicolas Sarkozy estime avoir trouvé le bon tempo, «entre le trop et le pas assez», résume son entourage.
«Il garde le secret plus qu'avant»
Date : 20 / 07 / 2009

La politique des sondages de l'Elysée critiquée par la Cour des comptes
LeMonde.fr Trouver l'article
A côté des frais du chef de l'Etat, la Cour des comptes s'est intéressée, dans son rapport sur la gestion des comptes de l'Elysée, paru jeudi 16 juillet, à la politique de commande des sondages d'opinion. Elle s'interroge notamment sur un contrat signé en juin 2007 avec un cabinet qui a commandé par la suite à l'institut de sondages et d'études OpinionWay plusieurs enquêtes d'opinion, pour 1,5 million d'euros. Des sondages payés par l'Etat et dont les résultats ont pourtant été également publiés par Le Figaro et LCI.
La présidence a ainsi déboursé 392 288 euros en 2008 pour des Politoscope, réalisés toutes les deux semaines, alors que cette enquête était disponible sur les deux médias. "Les comptes-rendus facturés à l'Elysée étaient entièrement disponibles en ligne gratuitement" assure ainsi Yves Rolland, magistrat à la Cour des comptes. Quinze études sur les trente-cinq payées par la présidence ont été également publiées dans la presse, ce qui conduit à "mettre en doute l'intérêt de telles commandes", selon Philippe Séguin, le président de la Cour.
Ces accusations sont contestées par OpinionWay, qui assure sur son site que les résultats vendus au cabinet contenaient également des questions supplémentaires et "des tris détaillés par catégorie de population des résultats de nos enquêtes publiées, comme le font depuis longtemps la plupart des instituts d'études". Ce qui justifierait une facturation spécifique : "Cette autre prestation ne correspond donc aucunement aux questions financées par LCI et Le Figaro", assure ainsi le communiqué.
"L'Elysée a peut-être simplement remis le format allégé de nos études au conseiller de la Cour des comptes. Ou bien les CD qui contiennent plus de 60 pages de détail que nous avons remis à Publifact [le cabinet en contrat avec l'Elysée] ont peut être été perdus" avance Bruno Jeanbart, le directeur des études politiques de l'institut, pour expliquer les constatations de la Cour. Publifact appartient à Philippe Buis
Date : 17 / 07 / 2009

Claude Guéant souhaite que Nicolas Sarkozy se représente en 2012
nouvelobs.com Trouver l'article
"Il n'a sans doute pas arrêté sa décision, mais je souhaite très vivement qu'il se représente", déclare Claude Guéant. Une semaine plus tôt, le chef de l'Etat lançait "vous en avez encore pour 7 ans et demi avec moi!"
Le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a souhaité, mardi 14 juillet, que Nicolas Sarkozy se représente en 2012 pour un deuxième quinquennat. "Il n'a sans doute pas arrêté sa décision, mais si vous voulez mon sentiment, personnellement je souhaite très vivement qu'il se représente", a-t-il déclaré sur TF1. Une semaine plus tôt, Nicolas Sarkozy ne cachait pas sa volonté de briguer un nouveau mandat en 2012 devant les députés UMP : "au pire, au mieux, vous vous dites que vous en avez encore pour sept ans et demi maximum avec moi !"
"S'il se représente, je voterai à nouveau Sarkozy en 2012"
De son côté Eric Besson, ministre de l'Immigration et ancien membre du PS, a déjà fait savoir ses intentions : "s'il se représente, je voterai à nouveau Sarkozy en 2012", confie-t-il dans un entretien au Figaro.
Pour sa part, Fadela Amara, secrétaire d'Etat à la ville, ne votera pas Sarkozy en 2012 "et il le sait", a-t-elle déclaré dans un entretien au Point.
Enfin, selon un sondage CSA pour Marianne, 55% des Français ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se présente à l'élection présidentielle de 2012, tandis que 29% le souhaitent.
Date : 14 / 07 / 2009

Elysée - Sarkozy euphorique
LCI.fr Trouver l'article
Comme à son habitude, Nicolas Sarkozy a voulu s'adresser mardi en marge des son déplacement officiel dans les Hauts-de-Seine aux adhérents de son parti. Et à en croire Le Figaro et Europe 1, c'est un chef de l'Etat plus optimiste et énergique que jamais qui s'est présenté devant eux. Aux mille participants, il a affirmé que son parti avait gagné les dernières élections européennes parce qu'il était "rassemblé et ouvert aux autres sensibilités de la majorité. Plus nos adversaires sont sectaires, plus nous devons nous montrer ouverts". Et de démontrer une nouvelle fois la pertinence de la stratégie "d'ouverture".
Le dernier remaniement n'a pas permis à Nicolas Sarkozy de faire venir au gouvernement de nouvelles "prises" à la gauche, certaines ayant apparemment refusé. Mais il n'en démord pas. Persuadé de pouvoir convaincre de nouvelles personnalités qui ne sont pas de sa famille politique, il a affirmé que l'équipe Fillon n'était peut-être pas tout à fait complète. Et de promettre prochainement de "nouvelles surprises" avec peut-être la nomination de plusieurs secrétaires d'Etat. Ces propos rapportés par différentes sources ont pur but de continuer à mettre la pression sur une opposition de gauche sonnée et dispersée.
L'euphorie du président, les participants à une table-ronde dans la matinée ont pu également la percevoir. Très en forme, il n'a pas hésité à utiliser Michèle Obama pour vanter les mérites du travail le dimanche. "Est-ce qu'il est normal que le dimanche, quand Mme Obama veut avec ses filles visiter les magasins parisiens, je dois passer un coup de téléphone pour les faire ouvrir ?", s'est interrogé le chef de l'Etat. "Tous ceux qui soutiennent le président Obama étaient présents, très bien. Qu'ils aillent maintenant leur expliquer pourquoi le dimanche nous sommes le seul pays où, à Paris, c'est fermé", a-t-il poursuivi. Depuis, la vidéo de cet extrait de discours connaît un grand succès auprès des internautes.
Date : 01 / 07 / 2009



retour a la page principale