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La Sarkronique : Les chroniques quotidiennes des aventures de notre président Nicolas Sarkozy


Derniere mise à jour le : 20 / 03 / 2018
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SELECT DISTINCT an, mois FROM `sarko` ORDER BY an, mois ASC
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2009

La Sarkronique du mois de Avril 2009

SELECT * FROM `sarko` WHERE mois = '04' AND an = '2009' ORDER BY an, mois, jour ASC
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François Bayrou publie une charge contre "l'égocratie" sarkozyste
nouvelobs.com Trouver l'article
François Bayrou se pose en premier opposant à Nicolas Sarkozy. A l'occasion du deuxième anniversaire de l'élection du chef de l'Etat, le président du MoDem, les yeux rivés vers 2012, a publié jeudi "Abus de pouvoir", pamphlet contre "l'égocratie" sarkozyste.
Ce réquisitoire de 266 pages écrit de sa belle plume d'agrégé de lettres classiques démonte le "plan" de Nicolas Sarkozy: "sans mandat" et "contre la volonté des Français", en finir avec le "modèle républicain" pour bâtir un "modèle de société fondé sur l'inégalité", grâce à "la plus impressionnante confiscation de tous les pouvoirs qui ait été tentée depuis des décennies".
"C'est une entreprise concertée, à la tête de laquelle est une personnalité qui n'aperçoit pas de limite à sa propre volonté de puissance", écrit le "troisième homme" de la présidentielle de 2007. "Dans une bouffée de puissance sans limite, dans la certitude de n'être pas vu, pas pris, il s'est mis en tête de conduire la France hors de son chemin".
Celui qui assure n'avoir "aucune antipathie personnelle pour Nicolas Sarkozy" fustige "une idéologie de l'argent, présenté comme une valeur", "une idéologie de la distraction du citoyen à coups de 'peopolisation', "une idéologie de l'extension indéfinie des normes de la globalisation". "Ce n'est pas une modernisation, c'est une abrogation".
Le président du MoDem fait du bouclier fiscal voté à l'été 2007 le point de départ de ce "modèle inégalitaire", qu'il présente comme l'importation en France du "modèle américain". La proposition de loi sur le travail le dimanche est un autre "révélateur" de cette "idéologie argent".
François Bayrou dénonce les discours de Nicolas Sarkozy sur la laïcité, inspirés par "le mouvement néo-conservateur américain, version Bush", les "médias sous influence".
Date : 30 / 04 / 2009

Grand Paris : une rocade de métro élevée au rang de chantier présidentiel
LeMonde.fr Trouver l'article
Georges Pompidou a laissé le centre Beaubourg, François Mitterrand a inauguré la Pyramide du Louvre, Jacques Chirac a voulu le Musée des Arts premiers. Dans la lignée de ses prédécesseurs, Nicolas Sarkozy tient son grand chantier présidentiel : un métro automatique de 130 kilomètres qui sertirait la capitale et fonctionnerait jour et nuit. "C'est tout de même bien pour laisser sa marque dans l'histoire de Paris", fait-on remarquer à l'Elysée. Ce grand projet coûtera plus de 20 milliards d'euros. Il sera lancé en 2012 et achevé en douze ans. Il nécessitera une loi pour raccourcir les délais de réalisation actuels des grandes infrastructures.
Le chef de l'Etat devait dévoiler son grand dessein, mercredi 29 avril, lors de l'inauguration de l'exposition consacrée aux travaux des dix équipes d'architectes de renom qui ont participé à la consultation initiée par M. Sarkozy sur le "grand pari de l'agglomération parisienne".
Pour réaliser le Grand Paris qu'il appelle de ses voeux, M. Sarkozy a abandonné - à ce stade - l'idée d'une réforme institutionnelle. Sans passer par une refonte administrative qui risque de heurter les élus, il n'a pas renoncé, en revanche, à unifier Paris et les villes qui l'entourent. Pour que les habitants de l'agglomération parisienne se sentent appartenir à un même territoire, "il faut que les citoyens soient égaux en terme d'accès à Paris quel que soit l'endroit où ils habitent dans la métropole", explique-t-on à l'Elysée.
Après l'aventure du métro dans la première moitié du XXe siècle, la réalisation du RER lancée par le général de Gaulle en 1965 et inaugurée en 1977, Nicolas Sarkozy justifie ainsi sa volonté de lancer une troisième "révolution" des transports des Franciliens.
M. Sarkozy devait annoncer, mercredi, un plan d'investissement global de 35 milliards d'euros sur 12 ans. Soit 20 milliards de plus que ce que la Région et l'Etat ont d'ores et déjà prévu de dépenser dans les 15 ans qui viennent. Cet effort fina
Date : 29 / 04 / 2009

Sarkozy fait du neuf avec du vieux Pour l'emploi des moins de 25 ans
20Minutes.fr Trouver l'article
La marge de manoeuvre est très étroite. Et les recettes souvent connues.
Nicolas Sarkozy présente aujourd'hui, à Jouy-le-Moutier (Val-d'Oise), son plan en faveur des jeunes, premières victimes de la crise. Il y a urgence, tous les indicateurs sont au rouge. Selon une enquête de l'Association pour faciliter l'insertion professionnelle des jeunes (Afij) publiée hier, seules 38 % des personnes diplômées l'an dernier ont du travail en avril 2009, contre 60 % à la même époque en 2008. Cette remontée du chômage des jeunes - qui dépasse à nouveau la barre symbolique des 20% - est deux fois plus rapide que pour les autres salariés. Selon Martin Hirsch, haut-commissaire à la Jeunesse, 650 000 d'entre eux pourraient pointer au Pôle emploi cette année. Le sujet est d'autant plus sensible que les moyens d'action sont limités. « Le pouvoir politique a très peur d'une possible révolte de la jeunesse, explique Olivier Galland, chercheur au CNRS (lire ci-dessous). Il risque de ne pas lancer de réformes structurelles pour l'emploi des jeunes, pourtant indispensables et urgentes. » Car dès qu'un gouvernement a voulu s'engager dans la voie de contrats spéciaux (smic jeunes en 1994, CPE en 2006), il a dû faire marche arrière.
Même si Martin Hirsch promet un plan original, celui-ci devrait reposer sur des dispositifs existants et destinés aux plus défavorisés : création de contrats initiative emploi (on parle de 50 000) et aides à l'embauche en alternance. Le gouvernement pourrait ainsi débloquer un milliard d'euros pour pousser les entreprises à recruter des jeunes en apprentissage, en contrat de professionnalisation, ou même pour prendre en charge une part de leur salaire. Quant au service civique volontaire rémunéré, l'annonce de sa mise en place pourrait être repoussée, selon un membre du gouvernement. W
David Carzon
Date : 24 / 04 / 2009

Sarkozy n'a "pas de temps à perdre" avec les excuses de Royal à Zapatero
nouvelobs.com Trouver l'article
Nicolas Sarkozy a assuré mardi qu'il n'avait "pas de temps à perdre" à commenter les excuses formulées en son nom par Ségolène Royal au chef du gouvernement espagnol José Luis Zapatero.
"Vous croyez que je n'ai que ça à faire? Je n'ai pas de temps à perdre, excusez-moi", a-t-il répondu à une question sur le sujet, en marge d'une visite à Nice consacrée à la sécurité.
Ségolène Royal a créé une polémique en présentant des excuses à José Luis Zapatero pour des propos attribués au président de la République Nicolas Sarkozy, qui aurait qualifié le chef du gouvernement espagnol, selon "Libération", d'homme "peut-être pas très intelligent". L'Elysée avait démenti que le président ait tenu ces propos. AP
Date : 21 / 04 / 2009

Le «sniper» Sarkozy irrite la presse anglophone
Liberation.fr Trouver l'article
Rapportées par Libération, les petites phrases prononcées mercredi par Nicolas Sarkozy, lors d’un déjeuner avec des parlementaires, continuent de rebondir dans la presse étrangère. Les médias espagnols ne sont pas les seuls à relayer les propos du chef de l’Etat – évoquant le manque d'intelligence de José Luis Zapatero. Les commentaires présidentiels sur Angela Merkel et les débuts de Barack Obama sur la scène internationale ont aussi fait tilter la presse anglophone.
Selon les convives, Sarkozy avait jugé que le président américain «est un esprit subtil, très intelligent et très charismatique. Mais il est élu depuis deux mois et n’a jamais géré un ministère de sa vie. Il y a un certain nombre de choses sur lesquelles il n’a pas de position».
Une déclaration reprise par The Guardian, qui a interviewé le député (apparenté PCF) Jean-Pierre Brard, invité au fameux déjeuner. Le quotidien britannique rappelle au passage les habituelles «vantardises» du chef de l’Etat, son «hyperactivité». Pour le coup, celui-ci s’est «surpassé», estime le quotidien : «Saisissant sa chance de se dépeindre en héros» anti-récession, «il s’est enfoncé par ses commentaires».
Date : 17 / 04 / 2009



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