SELECT num, jour, mois, an FROM `sarko` WHERE num = ( SELECT MAX(num) FROM `sarko` )
Nb Result = 1

La Sarkronique : Les chroniques quotidiennes des aventures de notre président Nicolas Sarkozy


Derniere mise à jour le : 20 / 03 / 2018
MENU
SELECT DISTINCT an, mois FROM `sarko` ORDER BY an, mois ASC
Nb Result = 33
Introduction
2018
Mars
2017
Octobre
2016
Novembre
Octobre
2015
Mai
Avril
2014
Novembre
Juillet
Mars
2013
Mars
Janvier
2010
Avril
2009
Décembre
Novembre
Octobre
Septembre
Août
Juillet
Juin
Mai
Avril
Mars
Février
Janvier
2008
Décembre
Novembre
Octobre
Septembre
Juillet
Juin
Mars
Février
Janvier

Tout
2009

La Sarkronique du mois de Mars 2009

SELECT * FROM `sarko` WHERE mois = '03' AND an = '2009' ORDER BY an, mois, jour ASC
Nb Result = 15
Dominique de Villepin : "Le chef de l'Etat doit faire preuve non de banane mais de sagesse"
LeMonde.fr Trouver l'article
Dominique de Villepin, ancien premier ministre, était l'invité de Dimanche soir politique, dimanche 29 mars, une émission France Inter, i-TÉLÉ, Le Monde.
Faut-il une loi pour encadrer le salaire des patrons ?
Il faut à l'évidence agir. Peu importe que ce soit sous forme de loi, de décret ou de convention. L'essentiel est de dire qu'on ne peut pas faire confiance aux seuls mécanismes du marché. Il faut corriger une certaine forme de voracité des mieux placés vis-à-vis des indemnités de départ et des stock-options. Faute de quoi nous irons vers de graves problèmes sociaux.
Il ne faut pas agir sous le simple coup de l'émotion, mais partir de deux principes : s'il y a rémunération complémentaire, elle doit être assise sur d'autres facteurs plus rationnels que les cours de Bourse. Par exemple, la création d'emplois, un comportement vertueux sur le plan environnemental.
Il faut en outre que cette possibilité soit offerte à l'ensemble des salariés. En Allemagne, le syndicat IG Metal se bat pour que les salariés puissent devenir actionnaires de leur entreprise en contrepartie des efforts qu'on leur demande. Cela fait partie des idées nouvelles à explorer.
Vous êtes l'inventeur du bouclier fiscal. Faut-il aujourd'hui y renoncer au nom de la justice sociale ?
La période impose un effort de solidarité. Lorsque j'ai créé le bouclier fiscal, son taux était de 60% . Nicolas Sarkozy a fait descendre la barre effective à 39 % en ramenant le taux du bouclier à 50 % et en y incluant la CSG et la CDRS.
Aujourd'hui, il serait bon de ramener le bouclier fiscal à ce qu'il était précédemment. Le consensus social est relativement faible dans notre pays. Si nous voulons éviter la montée de la colère, il faut en rajouter dans le sens de la justice sociale.
Nicolas Sarkozy s'expose-t-il trop dans cette crise ?
On perçoit un assez grand désarroi des ministres, qui ont le sentiment de ne plus savoir dans quel sens ils doivent aller.
Date : 30 / 03 / 2009

Sarkozy agacé par la panne de son avion
LeParisien.fr Trouver l'article
Nicolas Sarkozy, qui s'apprêtait mercredi soir à décoller pour l'Afrique, a dû changer d'avion sur le tarmac de l'aéroport de Villacoublay après un «incident mécanique» survenu sur l'un des réacteurs de l'A319 présidentiel. Christine Lagarde (Economie) et Brice Hortefeux (Travail) se trouvaient à bord, selon le site internet bakchich.
info, ainsi que les secrétaires d'Etat Alain Joyandet (Coopération) et Rama Yade (Droits de l'Homme).
Alain Joyandet a expliqué à l'AFP qu'un «incident mécanique» s'était produit sur l'un des réacteurs de l'avion, à droite de l'appareil. «Nous roulions sur le tarmac» de l'aéroport militaire de Villacoublay (Yvelines) «quand nous avons entendu un gros bruit. Mais le moteur n'a pas pris feu. L'avion s'est immobilisé. Deux ou trois camions de pompiers sont arrivés vers nous mais ne sont pas intervenus», a-t-il affirmé.
Le chef de l'Etat, ses ministres, ainsi que la vingtaine de personnes présentes à bord de l'avion (ses proches collaborateurs ainsi que des membres des services de sécurité) sont descendus. Une heure plus tard, tous reprenaient un autre avion, direction Kinshasa. Selon M. Joyandet, «il n'y a eu aucune panique. Le président comme les autres passagers sont restés très détendus».
Le président Sarkozy a effectué jeudi et vendredi une tournée dans trois pays africains, la République démocratique du Congo, le Congo et le Niger.
Date : 30 / 03 / 2009

Sarkozy et Obama parlent de la crise au téléphone
LeFigaro.fr Trouver l'article
Pendant une demi-heure, les deux chefs d'Etat ont évoqué le contexte crise économique difficile et la prochaine réunion du G20. Leur premier entretien bilatéral aura lieu début avril.
Deux jours après la rencontre entre le premier ministre François Fillon et le vice-président américain Joe Biden à Washington, c'était au tour de leurs «patrons» respectifs, Nicolas Sarkozy et Barack Obama, de se parler au téléphone, mercredi.
Pendant une demi-heure, les deux chefs d'Etat «se sont entretenus des réponses que la communauté internationale devait apporter à la crise économique et financière», précise un communiqué de l'Elysée.
Objectifs ambitieux
A huit jours du G20 de Londres, ils ont ainsi convenu qu'il «devait avoir des objectifs ambitieux et aboutir à des décisions concrètes, pour définir une nouvelle régulation financière internationale, renforcer la gouvernance économique et soutenir la demande mondiale».
Ce sommet, qui réunira 20 pays développés et émergents le 2 avril, marquera la première rencontre entre Nicolas Sarkozy et Barack Obama, depuis l'élection de ce dernier en novembre 2008.
Mais pour le tête-à-tête dont ils se «réjouissent» par avance, les deux hommes devront encore attendre un ou deux jours de plus. D'après l'Elysée, qui prépare avec la présidence américaine un tel entretien bilatéral depuis plusieurs semaines, cette rencontre devrait finalement avoir lieu en marge du sommet de l'Otan, le 3 ou le 4 avril à Kehl, en Allemagne et à Strasbourg.
Date : 26 / 03 / 2009

Nicolas Sarkozy cherche à rassurer son électorat
LeMonde.fr Trouver l'article
Le président s'est transformé, le temps d'un discours, en candidat UMP. Intervenant mardi 24 mars à Saint-Quentin (Aisne), Nicolas Sarkozy a d'abord insisté sur les "valeurs", estimant que la crise était aussi "une crise intellectuelle et morale". Il a vanté, un instant, la "démocratie irréprochable". Mais, entre la manifestation sociale du 19 mars et le sommet du G20, censé refonder le capitalisme financier à Londres le 2 avril, le chef de l'Etat, au creux des sondages, a vite basculé, cherchant à rassurer son électorat pendant une heure.
A l'approche des élections européennes du 7 juin, il a tenu, devant une salle acquise, un discours de droite: défense du bouclier fiscal et réfutation des hausses d'impôts. Il en est resté aux rodomontades sur les stock-options et sur la rémunération des patrons. Assurant que "personne ne sera abandonné", il a annoncé pour avril un "plan d'urgence en faveur des jeunes", vantant l'apprentissage, qui n'"est pas un gros mot". Il a promis des "décisions à la hauteur du défi" en faveur du réseau de transports franciliens "à bout de souffle".
A la fois sûr de lui et sur la défensive, M.Sarkozy a multiplié les piques contre la gauche et la presse. Il a justifié son action depuis le début de la crise, en dépit des invitations à la prudence qu'auraient prodiguées ses conseillers: "Jusqu'à présent, nous n'avons pas commis d'erreur", a-t-il tranché.
Sur les valeurs, le président a célébré la liberté, et raillé l'échec, selon lui, de la réunion du PS au Zénith de Paris, dimanche, sur le sujet. Pour M. Sarkozy, la liberté a le visage de la sécurité, thème cher à l'ancien ministre de l'intérieur."La liberté, c'est prendre le métro sans se faire agresser par des voyous. La liberté, c'est vivre sans avoir peur", a-t-il dit.
"Je n'accepterai jamais que des bandes puissent organiser des expéditions punitives dans les collèges ou les lycées", a mis en garde le chef de l'Etat, confirmant son intention de pénaliser l'intrus
Date : 25 / 03 / 2009

Sarkozy vend sa pilule du lendemain qui chante à Saint-Quentin…
Liberation.fr Trouver l'article
Parler. Rendre des comptes. Justifier ses choix. Mais aussi préparer les batailles électorales à venir. Ce soir à Saint-Quentin dans l’Aisne, Nicolas Sarkozy enfile sa tenue de combattant pour faire ce qu’il affectionne le plus : de la politique. Au cœur d’une région sinistrée (la Picardie) et dans le fief du nouveau numéro 1 de l’UMP, Xavier Bertrand, le Président va discourir pour tenter de donner du sens à la politique mise en œuvre depuis le début de la crise et montrer que «l’Etat protecteur» joue son rôle. Pas seulement en matière économique.
La sécurité des Français, la lutte contre les bandes et les violences scolaires seront également abordées. Dans le droit fil des discours qu’il écrivait pendant la campagne présidentielle, la plume et conseiller du Président, Henri Guaino, a reçu pour consigne d’insister sur les «valeurs, les repères», qui fondent le sarkozysme d’aujourd’hui et de demain. L’idée générale est de montrer comment le «gouvernement se bat et agit au quotidien», selon un conseiller. L’idée sous-jacente est de mettre en scène au milieu de 4 000 personnes triées sur le volet un président de la République, certes impopulaire, mais qui ne se dérobe pas et reste fidèle à ses engagements de campagne au-delà des vicissitudes de la crise. Après Toulon en septembre, au début de la crise, Douai en décembre, sur le plan de relance, Saint-Quentin est censé ouvrir des perspectives sur l’après-crise. Tous ces discours sont des petits cailloux semés sur le chemin qui doit ramener Sarkozy à l’Elysée en 2012.
Fourre-tout. A moins de dix jours du sommet du G20 de Londres, le chef de l’Etat a prévu ce soir de délivrer ses pistes pour refonder le capitalisme. Il évoquera également les restructurations industrielles, les licenciements dans les entreprises qui font des profits. Au risque du fourre-tout, il discourra aussi sur les grands travaux, l’emploi des jeunes, l’écologie et la voiture propre, l’Europe… Quant au bouclier fiscal - contesté à gauche
Date : 24 / 03 / 2009

Nicolas Sarkozy se saisit du dossier de l'emploi des jeunes
LExpress.fr Trouver l'article
PARIS - Nicolas Sarkozy entend se saisir d'urgence du problème du chômage des jeunes, premières victimes de la crise en France, et pourrait apporter des réponses mardi soir, lors d'un meeting à Saint-Quentin, dans l'Aisne.
Le président français a estimé vendredi à Bruxelles, à l'issue du Conseil européen, qu'il fallait "incontestablement" et sans attendre faire davantage pour les jeunes.
Son conseiller spécial, Henri Guaino, a enfoncé le clou, dans une interview à Reuters.
"On ne peut évidemment pas accepter de sacrifier une, deux ou trois classes d'âge, ce qui serait le cas si on acceptait de les laisser totalement exclus du marché du travail pendant tout le temps que dure la crise", a-t-il déclaré.
Avec la crise économique et financière, qui nourrit le mal-être de la jeunesse française, la question est revenue avec force sur le devant de la scène politique française.
La France est un des pays d'Europe où le taux de chômage des jeunes est le plus élevé : 21,5%, plus du double de l'Allemagne (10,2%) et le quadruple des Pays-Bas (5,5%), alors que le taux de chômage des moins de 25 ans était en moyenne de 17,0% au sein de l'Union européenne en janvier, selon Eurostat.
Le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A de moins de 25 ans a progressé en France de 5,8% en janvier 2009 et de 25,9% sur un an, contre une hausse de 4,6% sur le mois et de 14,2% sur un an pour toutes les catégories confondues.
"Dans l'immédiat, toutes les portes sont fermées pour les jeunes, diplômés, pas diplômés, dans tous les secteurs (...). Si on n'y touche pas, on va augmenter le nombre de jeunes chômeurs de 150 à 200.000", déplore le Haut Commissaire aux Solidarités actives et à la Jeunesse, Martin Hirsch.
La jeunesse française est en outre l'une des plus pessimistes du monde, selon une étude de la Fondation pour l'innovation politique réalisée en 2008 dans 17 pays : 26% des Français de 16 à 29 ans jugeaient leur avenir prometteur, con
Date : 23 / 03 / 2009

Face aux bandes, Sarkozy ressort l’artillerie
Liberation.fr Trouver l'article
Nicolas Sarkozy, qui se fait rare dans les cités sensibles depuis son élection en 2007, est revenu hier en banlieue en compagnie de ses ministres de l’Intérieur, de l’Education et de la Justice, pour dégainer son plan contre les bandes violentes. A Gagny (Seine-Saint-Denis), il a visité le lycée Jean-Baptiste Clément, rencontré professeurs et élèves qui, le 10 mars, s’étaient retrouvés face à une vingtaine d’agresseurs encagoulés et armés.
Le chef de l’Etat a choisi une veille de grève nationale contre sa politique pour dévoiler son dispositif visant à contrer ces groupes de jeunes, dont 222 ont été recensés en France, 80 % agissant en région parisienne. Certes, ses annonces interviennent une semaine après les incidents de Gagny et les affrontements du week-end dernier aux Mureaux (Yvelines). Mais leur tonalité répressive et sécuritaire apparaît aussi comme un signal fort pour l’électorat de droite en ces temps de marasme social.
«Extrêmement mouvant». Parmi les seize mesures annoncées, huit concernent l’action de la police, trois la justice et cinq la protection des personnels et établissements de l’Education nationale. L’appartenance à une bande «en connaissance de cause», ayant des visées agressives sur les biens et les personnes, sera punie d’une peine de trois ans d’emprisonnement. Une mesure qui laisse songeur dans les rangs de la police : «C’est la loi anticasseur mise en place dans les années 70 et revisitée sous l’angle des cités sensibles, estime un officier. La notion de bande étant quelque chose d’extrêmement mouvant, c’est toujours très difficile de définir la notion d’appartenance. Il suffit d’un contrôle de police qui se passe mal pour que 35 jeunes viennent rejoindre un groupe de quatre et en décousent avec la police. Sont-ils pour autant tous membres de la même bande ? J’ai l’impression qu’en haut lieu, on confond les bandes informelles comme on les rencontre en France et les gangs organisés comme on les perçoit aux Etats-Unis.» Un ga
Date : 20 / 03 / 2009

Le bouclier fiscal, pièce idéologique majeure de Nicolas Sarkozy
LExpress.fr Trouver l'article
PARIS - En défendant le bouclier fiscal, Nicolas Sarkozy veut maintenir sa "colonne vertébrale idéologique" dans l'optique de la présidentielle de 2012 et seule une très forte contestation sociale pourrait l'obliger à reculer, estiment des analystes.
"Je n'ai pas été élu pour augmenter les impôts", a répliqué le chef de l'Etat à ceux qui, au sein même son parti, demandent la suspension de cette mesure phare de la loi Travail, emploi, pouvoir d'achat (Tepa) votée dans la foulée de son élection.
Selon ces parlementaires, le versement en pleine crise économique d'environ 458 millions d'euros en 2008 à quelque 14.000 contribuables, dont un tiers comptent parmi les plus riches, nourrit un sentiment d'"iniquité" dans l'opinion.
Brocardé par la gauche dès l'été 2007, l'abaissement de 60% à 50% du niveau du bouclier fiscal cristallise une partie du ressentiment à l'égard du gouvernement, dont la politique économique est contestée par une majorité de Français.
Les syndicats, qui demandent sa suppression, espèrent que cette grogne se traduira par une forte mobilisation jeudi lors d'une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations.
Mais à travers cette mesure, l'ancien candidat de la réhabilitation du travail et des baisses d'impôts défend sa crédibilité et la possibilité de vanter ses réformes lors d'une éventuelle candidature en 2012, expliquent des analystes.
Pour Gaël Sliman, de l'institut de sondages BVA, la loi Tepa et les suppressions de postes dans la fonction publique sont "la colonne vertébrale idéologique" de Nicolas Sarkozy.
"S'il revient dessus, on l'accusera d'être une girouette", explique-t-il, "et le meilleur moyen pour lui de rebondir lorsque la crise sera passée sera de dire 'nous repartons parce que j'ai continué à réformer, parce que j'ai eu une ligne politique cohérente'".
Date : 18 / 03 / 2009

Sarkozy archi prêt à rempiler
Liberation.fr Trouver l'article
Elysée. Devant des architectes, le chef de l’Etat se souhaite dix ans pour réaliser le Grand Paris.
ANTOINE GUIRAL et ANNETTE LEVY-WILLARD
Il sera là, à l’Elysée, à la tête du pays. Longtemps. Bien au-delà des cinq ans de son premier mandat de Président. Pour mener jusqu’au bout son «projet phare». C’est en tout cas ce qu’ont entendu les architectes reçus par Nicolas Sarkozy pendant une heure et demie, vendredi après-midi à l’Elysée, pour donner le feu vert au Grand Paris.
«J’espère que vous m’aiderez à être réélu parce qu’il faut du temps pour faire tout ça», ont entendu certains de ses invités. A-t-il simplement lâché la remarque que «cinq ans ne suffiront pas» pour réaliser ses grands travaux ? Les formulations diffèrent, mais une chose est certaine : en l’absence de la presse à cette réunion au sommet, le Président s’est laissé aller à la confidence sur sa volonté de rester à l’Elysée au-delà de 2012.
«Réveiller». L’occasion justifiait un tel engagement : le remodelage de la région parisienne, entreprise «qui lui tient à cœur au plus haut point», est une telle ambition que lui seul peut porter ce projet. «Pour faire le Grand Paris, il faut être président de la République. J’ai toujours voulu le faire, a dit Nicolas Sarkozy aux architectes. C’est un projet structurant la métropole.» Dans l’enthousiasme, le chef de l’Etat a parlé de son projet pour Paris comme ce qui «restera de sa présidence». Et le chef de l’Etat d’expliquer : «Je veux réveiller mon pays… La crise est une opportunité. Il faut faire en dix ans ce qu’on n’a pas fait depuis cent cinquante ans.» Dix ans, soit le temps de deux mandats.
Comme ses prédécesseurs, Nicolas Sarkozy raffole de ce petit jeu qui consiste à souffler le chaud et le froid, en fonction de ses interlocuteurs, sur ses intentions de faire un second mandat. Très vite après son élection, en mai 2007, il a commencé à aborder le sujet. Pour dire que sa charge était immense et que son seul but était l’actio
Date : 16 / 03 / 2009

Affaire Pérol: la Commission de déontologie a envisagé de démissionner
nouvelobs.com Trouver l'article
Les membres de la Commission de déontologie de la fonction publique ont été "tout près de démissionner collectivement" après la polémique sur la nomination de François Pérol à la tête du groupe Caisse d'Epargne-Banque populaire, a révélé jeudi le président de la commission Olivier Fouquet devant la commission des Lois de l'Assemblée nationale lors d'une audition qui a mis en lumière les lacunes de la législation sur le contrôle des "pantouflages".
Lors de la réunion mercredi de la Commission de déontologie, "nous avons envisagé une démission collective", a déclaré M. Fouquet aux députés. Le conseiller d'Etat a confié avoir été arrêté par les "termes de la loi". Du fait du délai d'un mois imposé pour rendre ses décisions, "n'importe qui aurait pu obtenir un avis favorable" pendant le délai de vacance de la commission.
Lors de cette audition houleuse, le haut fonctionnaire de 66 ans a été soumis à un feu roulant de questions des députés socialistes, qui avaient demandé à l'entendre pour faire la lumière sur cette "affaire d'Etat".
Olivier Fouquet a reconnu qu'il s'était fait piéger par Nicolas Sarkozy, lorsque le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant lui a demandé, au téléphone puis par courrier, son opinion sur le cas Pérol. Dans une lettre jointe à celle de M. Guéant, et lue devant la commission des Lois, François Pérol estimait pouvoir exercer ses nouvelles fonctions en toute légalité.
En réponse à cette demande, M. Fouquet a adressé le 24 février à Claude Guéant une lettre dans laquelle il exprimait son "opinion personnelle" que la "jurisprudence traditionnelle" de la commission autorisant des membres de cabinets ministériels à exercer dans le privé était "applicable" au secrétaire général adjoint de l'Elysée.
Lors d'une conférence de presse le même jour à Rome, Nicolas Sarkozy avait présenté cette lettre comme le "point de vue" de la commission, alors que cette dernière ne s'est jamais réunie pour examiner le cas.
Date : 12 / 03 / 2009

OTAN : les justifications de Nicolas Sarkozy
LeMonde.fr Trouver l'article
Pour justifier sa décision de faire revenir la France dans la structure militaire intégrée de l'Alliance atlantique, Nicolas Sarkozy devait faire une triple démonstration : ce rapprochement ne brade en rien l'indépendance nationale ; il ne constitue pas une rupture avec ses prédécesseurs ; enfin, ce retour complet dans l'OTAN n'affaiblira pas la défense européenne. Le président de la République, qui s'exprimait, mercredi 11 mars, lors d'un colloque organisé à l'Ecole militaire par la Fondation pour la recherche stratégique (FRS), a longuement insisté sur les deux premiers points, glissant rapidement sur le troisième.
Cette intervention du président, qui précède le débat formel prévu à l'Assemblée nationale le 17 mars, a pris la forme d'une longue réfutation, souvent agacée, des accusations dont il est l'objet.
La plus sensible est celle d'une trahison de l'héritage du général de Gaulle, puisque c'est le chef de la France libre qui avait décidé, en mars 1966, de quitter le commandement militaire de l'Alliance. "Qui peut prétendre savoir aujourd'hui ce que ferait le général de Gaulle ?", a demandé le chef de l'Etat.
Citant à plusieurs reprises Jacques Chirac et François Mitterrand qui, selon lui, ont initié ce rapprochement avec l'Alliance atlantique, M. Sarkozy a longuement évoqué les étapes de ce "processus continu" qui s'est fait "sans le dire" (la France a recommencé à siéger au comité militaire de l'Alliance en 1995). Lui, a-t-il souligné, abat ses cartes dans la transparence.
M. Sarkozy a consacré une grande part de son discours à réfuter l'accusation d'un "alignement" sur les Etats-Unis, et à expliquer que la décision symbolique pour la France de reprendre "toute sa place" dans l'OTAN, ne remet pas en cause l'indépendance nationale. Il n'a pas d'états d'âme à appartenir à la "famille occidentale", et estime que ce serait "folie" que de s'affranchir d'un accord de sécurité avec les Etats-Unis, via l'article 5 (le mécanisme de défense
Date : 12 / 03 / 2009

L’invraisemblable affaire Cassez
Liberation.fr Trouver l'article
LÉONORE MAHIEUX (à Mexico)
Jugée coupable d’enlèvements et de port d’armes, Florence Cassez a été condamnée en deuxième instance à soixante ans de prison. La Française clame son innocence.
Quels sont ces liens avec la «bande du Zodiac» ?
Originaire du Nord de la France, Florence Cassez rejoint, au printemps 2003, son frère installé au Mexique depuis huit ans. Elle travaille dans son entreprise, avant de voler de ses propres ailes. En 2004, il lui présente un de ses amis : Israel Vallarta. La romance durera jusqu’en avril 2005, moment où leur relation bat de l’aile. En juillet, elle met fin à l’histoire et rentre en France pour chercher du travail. Ne trouvant rien, elle revient au Mexique et loge chez son «ex», au ranch de Las Chinitas dans le sud de Mexico. Elle trouve un poste de réceptionniste dans un grand hôtel du centre mi-novembre, puis déniche un appartement. Le 8 décembre, elle va récupérer ses meubles au ranch. Sur le chemin du retour, alors qu’elle est en voiture avec Israel Vallarta, ils sont arrêtés par l’Agence fédérale d’investigation (AFI). Surveillé depuis quelques mois, Vallarta est accusé d’être le chef de la «bande du Zodiac» responsable de plusieurs enlèvements.
Pourquoi a-t-elle été inculpée ?
Si son ex-compagnon est clairement mis en cause, Florence Cassez n’est pas inquiétée dans un premier temps. Elle est maintenue dans un véhicule de l’AFI pendant vingt-quatre heures, la durée nécessaire à la mise en place d’un autre scénario de l’arrestation. Le 9 décembre 2005 au matin, les Mexicains découvrent le ranch de Las Chinitas sur les deux principales chaînes du pays. Ils assistent en direct à la libération d’otages et à l’arrestation d’Israel Vallarta et d’une jeune Française, pâle et échevelée, présentés comme les membres de la bande du Zodiac. La vérité sur les conditions de l’arrestation éclate deux mois plus tard lors d’une émission de la présentatrice vedette Denise Maerker. Alors que Genaro García Luna, chef de l’A
Date : 09 / 03 / 2009

Femmes ministres : comment Sarkozy les juge
LeFigaro.fr Trouver l'article
Avec la crise, le code a changé. Rachida, Rama, Roselyne, Fadela, Christine... Moins de deux ans après leurs nominations, les étoiles de certaines ont pâli quand d’autres brillent désormais au firmament. Revanche des fourmis laborieuses sur les cigales médiatiques.
«Il y a trop de buzz autour de Rachida Dati. On pourrait en faire l’économie d’au moins les trois quarts.» Dans l’avion qui le ramène de sa tournée au Proche-Orient, au début de l’année, Nicolas Sarkozy n’est pas tendre avec sa ministre de la Justice. Devant ses collaborateurs et les journalistes qui l’accompagnent, le chef de l’Etat ne pouvait mieux faire comprendre qu’une page du quinquennat venait de se tourner.
Il est loin le temps des voyages où la garde des Sceaux jouait les stars à l’avant de l’Airbus présidentiel. C’était pourtant il y a moins de deux ans ! A cette époque, le Président appréciait de voyager entouré de ses femmes ministres à l’étranger. A la Maison-Blanche, devant le président Bush, à Westminster, devant la reine d’Angleterre, Nicolas Sarkozy était fier d’avoir à ses côtés une Rachida Dati et une Rama Yade en robe longue. Elles étaient «l’image de la France», comme le disait celui qui voulait marquer le caractère inédit de ces nominations gouvernementales en les propulsant sur le devant de la scène. Rachida Dati était au zénith de sa popularité. Une note confidentielle n’expliquait- elle pas, en septembre 2007, que sa popularité révélait «un cas spécifique et sans précédent» et que l’examen de sa cote démontrait sa capacité à «faire bouger les lignes» ?
Date : 06 / 03 / 2009

Jean Sarkozy encore à la barre
20Minutes.fr Trouver l'article
Il y en a un qui ne lâche pas le morceau. La cour d'appel de Paris a examiné hier l'action engagée par un automobiliste contre Jean Sarkozy, qu'il accuse de l'avoir percuté à scooter en 2005. Le juge a mis sa décision en délibéré au 9 avril.
En première instance, le fils du Président avait été relaxé, les juges estimant que rien ne prouvait qu'il avait pris la fuite. Ironie du sort, la partie civile, M'Hamed Bellouti, avait même été condamnée pour « procédure abusive » à verser 2 000 euros de dommages et intérêts à Jean Sarkozy. « Outré par les termes du jugement », il avait interjeté appel.
Si la partie civile réclame des dommages et intérêts, la défense a demandé à la cour de confirmer le jugement et réclamé 4 000 euros de dommages et intérêts, que son client s'est engagé à reverser à une oeuvre charitable. Afin de soutenir financièrement M'Hamed Bellouti dans son combat judiciaire, des internautes ont créé un comité. A ce jour, plus de 7 000 euros de dons ont été récoltés.
Date : 06 / 03 / 2009

Pérol juge sa nomination régulière et rejette la "polémique"
LePoint.fr Trouver l'article
Dans sa première interview, François Pérol, conseiller de Nicolas Sarkozy passé à la tête d'une nouvelle banque fusionnant Caisses d'épargne et Banques populaires, rejette les critiques et plaide pour la régularité de sa nomination.
"Ne soyons pas naïfs, c'est d'abord une polémique politique, elle vise plus haut que moi ! Mais les conditions de ma nomination sont régulières, j'ai voulu être en conformité avec la loi et l'administration", dit-il au Journal du dimanche.
L'opposition de gauche, le centre indépendant, les syndicats et d'autres estiment que les règles n'ont pas été respectées, puisqu'une commission spécialisée appelée à donner son avis sur le nomination de hauts fonctionnaires dans les secteurs qu'ils régissaient n'a pas été consultée.
Ils voient l'épisode comme une nouvelle preuve de ce qu'ils décrivent comme le "pouvoir personnel" du chef de l'Etat français. L'ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée répond en assurant avoir personnellement effectué trois démarches pour s'assurer de la régularité de sa nomination.
Il dit avoir consulté le secrétariat général du gouvernement - rattaché à Matignon - un avocat qu'il ne nomme pas ainsi que le président de la commission de déontologie de la fonction publique, normalement appelée à statuer.
"A chacun de prendre ses responsabilités. Je prends les miennes. La saisine de la commission, facultative, était impossible dans les délais impartis. Les conditions de ma nomination sont régulières. Maintenant qu'on me laisse travailler !", dit François Pérol.
L'avis donné par le président de la commission, et brandi aussi par l'Elysée comme une garantie, est critiqué car le président lui-même a précisé qu'il ne se prononçait qu'à titre personnel et n'engageait pas la commission.
Date : 04 / 03 / 2009



retour a la page principale