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La Sarkronique : Les chroniques quotidiennes des aventures de notre président Nicolas Sarkozy


Derniere mise à jour le : 20 / 03 / 2018
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SELECT DISTINCT an, mois FROM `sarko` ORDER BY an, mois ASC
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2008

La Sarkronique du mois de Mars 2008

SELECT * FROM `sarko` WHERE mois = '03' AND an = '2008' ORDER BY an, mois, jour ASC
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Méditerranée : Paris rabote ses ambitions
LeFigaro.fr Trouver l'article
Nicolas Sarkozy expose jeudi soir à ses homologues européens son projet d'Union pour la Méditerranée, revu à la baisse, mais désormais accepté par Berlin. Pour la première fois depuis son élection à la présidence de la République, Nicolas Sarkozy va tester auprès de ses vingt-six partenaires européens son projet controversé d'Union méditerranéenne. La présentation officielle aura lieu jeudi soir à Bruxelles, lors du Conseil européen, «conjointement» avec la chancelière allemande, Angela Merkel. La précision protocolaire est de taille. Sans le soutien au moins implicite de Berlin, qui très tôt avait manifesté son hostilité à l'égard de cette idée élyséenne, sa concrétisation aurait été compromise. Résultat, l'Union pour la Méditerranée c'est l'expression retenue est très éloignée de l'Union méditerranéenne, volontiers lyrique, qui avait germé dans l'esprit d'Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy. Le 23 octobre à Tanger, le chef de l'État français avait invité les États côtiers de la Mare Nostrum à créer une «Union économique, politique et culturelle, dont nos enfants seront fiers.» Outre le fait qu'elle permettait de mettre la Turquie à distance de l'adhésion, l'initiative avait heurté les pays européens non méditerranéens, qui craignaient l'émergence d'institutions concurrentes à celles forgées dans le cadre de l'UE.
Date : 13 / 03 / 2008

Fillon plaide pour la «stabilité gouvernementale»
Liberation.fr Trouver l'article
Remaniement ou pas après les municipales ? Si Nicolas Sarkozy assure vouloir «tenir compte» du résultat, son Premier ministre n’est pas du même avis… Désaccord à la tête de l’Etat ? Le Premier ministre François Fillon a prôné aujourd’hui à Tarbes «une stabilité gouvernementale», indiquant par là ne pas être favorable à un remaniement après les élections. «Je prône, et tout le monde le sait depuis longtemps, une stabilité gouvernementale, mais ce n'est pas à moi à prendre cette décision, c'est le président de la République», a-t-il déclaré. En effet. Et le Président a déjà annoncé la couleur : s’il a exclu jeudi dernier «un remaniement en profondeur» après les municipales, il assure vouloir «tenir compte» du résultat de dimanche prochain. François Fillon lui n’en démord pas. «La France est le seul pays en Europe qui change plusieurs fois de gouvernement entre deux élections législatives». «Tous les grands pays modernes choisissent une équipe de gouvernement, choisissent un projet politique et le mettent en oeuvre pendant 4 ou 5 ans», a plaidé le chef du gouvernement. Réponse sûrement la semaine prochaine.
Date : 12 / 03 / 2008

Nicolas Sarkozy tirera «les leçons» des municipales
Liberation.fr Trouver l'article
Deux jours après les municipales, le Président affirme qu'il tiendra «naturellement compte» du scrutin et a salué les ministres qui l’ont emporté au premier tour, ce qu'il considère comme «un encouragement pour le gouvernement tout entier». «Après le deuxième tour, une fois acquis les résultats définitifs, il appartiendra à chaque responsable politique et d’abord à moi-même de tirer les leçons de ces élections». Relativement discret depuis deux semaines, Nicolas Sarkozy s'est enfin exprimé sur les élections municipales ce mardi. Lors d’un déplacement à Toulon, il a d’abord tenu à préciser que «le président de la République n’a pas à s’impliquer dans les élections municipales.» Avant d’ajouter qu’il tiendrait «naturellement compte» du résultat des élections municipales et cantonales, tout en soulignant, pour minimiser l’importance de ces élections, qu’il était uniquement question dans ce scrutin de «démocratie locale». Le résultat des ministres engagés aux municipales? «C’est pour le gouvernement tout entier un encouragement» lance Sarkozy. Outre François Fillon réélu conseiller municipal de Solesmes dans son fief sarthois, dimanche, vingt-trois ministres étaient engagés dans les municipales ou les cantonales. Quatorze ont été élus d’emblée. Pour le Président, «c’est pour eux la reconnaissance de leur talent et de leur compétence. Les électeurs leur ont fait confiance alors même qu’ils sont pleinement engagés dans des réformes difficiles». Il salue également «ceux qui l’ont emporté au premier tour», notamment Laurent Wauquiez, le porte-parole du gouvernement, Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur, Eric Woerth ministre du Budget ou Jean-Louis Borloo, Ecologie.
Date : 11 / 03 / 2008

Promesse
Liberation.fr Trouver l'article
Effet pervers des sondages : on se prend à croire au raz-de-marée, il n’a pas lieu, et c’est la déception qui entoure le succès… Il faut pourtant le dire sans ambages : la gauche, hier, a obtenu une victoire. Certes, elle avait pu croire à son irrésistible montée, près d’un an après la défaite présidentielle. Erreur sans doute due à l’ivresse de la fin de campagne et à l’apparente démoralisation de l’adversaire. Elle réalisera difficilement le grand chelem rêvé ces derniers jours. Mais ce premier tour, s’il n’est pas un triomphe, est pour elle une promesse. l est vrai qu’elle avait dans cette élection un joker efficace, qui a dominé toute la précampagne et déstabilisé l’UMP. Ce joker s’appelle Nicolas Sarkozy. Pendant plusieurs semaines, le Président a joué comme un avant-centre talentueux mais déboussolé, qui s’obstine à marquer des buts contre son camp. En annonçant au début de janvier qu’il ne fallait plus trop compter sur des hausses de pouvoir d’achat parce que «les caisses sont vides», en brouillant le message gouvernemental par une accumulation d’annonces maladroites, en faisant de sa vie privée un objet public, il a changé le décor de ce scrutin municipal.
Date : 10 / 03 / 2008

France-Afrique, l'heure du grand deballage?
Rue89.com Trouver l'article
Par Pierre Haski (Rue89) - 08/03/2008 - Il a suffi d'un incident hélas routinier -l'expulsion brutale de deux Gabonais en situation administrative irrégulière en France- pour ouvrir les vannes. Après le discours de Dakar de Nicolas Sarkozy, l'affaire de l'Arche de Zoé au Tchad, les rancoeurs accumulées par la politique française d'immigration, l'heure du grand déballage est-elle arrivée entre le continent noir et l'ancienne métropole? A la fois dans les commentaires de plusieurs articles de Rue89, dont le dernier sur le pied de nez d'Omar Bongo décidant de renvoyer en France tout Français en situation irrégulière au Gabon, mais aussi dans des contributions reçues de la part de Gabonais, il y a un côté déballage. Qui destabilise les Français peu habitués à voir l'Afrique rendre coup pour coup... L'état du débat, résumé en trois points. 1 - La rupture impossible. 2 - L'arrogance française. 3 - Comment avancer?
Date : 09 / 03 / 2008

A Marseille, Sarkozy a réveillé les électeurs du FN
Rue89.com Trouver l'article
Le Front national profite de l'impopularité du Président, et pourrait provoquer des triangulaires périlleuses pour l'UMP. La chute du président de la République dans les sondages a provoqué, ces derniers jours à Marseille, des dommages collatéraux dans le camp du maire sortant UMP, Jean-Claude Gaudin. Craignant un vote sanction, ce dernier a appelé les habitants de Marseille à "ne pas se tromper d'élection", répétant à plusieurs reprises que le scrutin du 9 mars n'était "pas le troisième tour de la présidentielle". Il est vrai que les derniers sondages ne l’incitent pas à l'optimisme. Ils donnent un léger avantage au candidat de la Gauche unie, Jean-Noël Guérini. Et révèlent surtout que le Front national est toujours en vie, et qu'il a même tendance à grignoter du terrain. Sur l'ensemble de la ville, le parti de Jean-Marie Le Pen est crédité de 9 à 11% des intentions de vote. Au soir du 9 mars, il pourrait donc bien être en position de se maintenir au second tour dans plusieurs secteurs de la ville (Marseille en compte huit, chacun regroupant deux arrondissements). Or, en cas de triangulaires, elles seront profitables à la gauche, l’UMP ne disposant plus alors de réservoir de voix. Ce qui pourrait aussi augmenter très sérieusement la valeur des voix du MoDem.
Date : 08 / 03 / 2008

TF1 avait demandé à l'Elysée la suppression de la publicité sur les chaînes publiques
20Minutes.fr Trouver l'article
Martin Bouygues avait beau jeu de dire qu'il était le premier surpris de la suppression de la publicité sur le service public: «Je l'ai découvert comme vous tous, lors de la conférence de presse du président de la République», avait déclaré le principal actionnaire de TF1 lors d'une conférence de presse le 27 février. Mais cette mesure était une des propositions de TF1 dans un Livre blanc remis au sommet de l'Etat entre mi-décembre et mi-janvier. Le quotidien économique «Les Echos» révèle vendredi matin le contenu de ce Livre blanc dans lequel la chaîne privée conseille de «prendre exemple sur le modèle britannique: un service public fort [...] financé exclusivement par des fonds publics». TF1 accuse les chaînes publiques de mener «une véritable politique de dumping, entraînant une pression artificielle à la baisse du coût des écrans, et tirant l'ensemble du marché publicitaire vers le bas». Une suppression de la publicité sur France Télévisions a surtout l'avantage de reporter une grosse partie du magot publicitaire vers les écrans des chaînes privées, et en premier lieu de TF1. La mesure décidée par le président de la République avait suscité des sarcasmes. Des spécialistes du secteur s'étaient ouvertement interrogés de savoir si des enjeux économiques (liés à des proches de Nicolas Sarkozy, dont Martin Bouygues) ne l'avaient pas influencé. La révélation de ce Livre blanc risque de relancer la polémique. Olivier Laban-Mattei AFP/Archives ¦ Martin Bouygues, le 27 avril 2006 à Paris V.G.
Date : 07 / 03 / 2008

Nicolas Sarkozy repart en campagne à J-3
LeFigaro.fr Trouver l'article
À trois jours du premier tour, le chef de l'État s'est félicité des bons résultats de la France en matière de chômage. Pas d'«éclipse de Sarkozy» à la veille des municipales. Malgré une popularité en berne, le chef de l'État a décidé d'afficher cette semaine sa sérénité et sa détermination à réformer. Après l'intervention devant les entreprises familiales au Sénat, puis l'entretien au Figaro, le chef de l'État était jeudi, toute la matinée, à Vesoul (Haute-Saône), dans la circonscription du député Alain Joyandet, pour un déplacement sur le thème de l'apprentissage. Il est sorti du cortège accompagné de la ministre de l'Économie, Christine Lagarde, décidément choyée ces derniers jours, tout comme son ministre de l'Éducation, Xavier Darcos. Sous un grand soleil, il a immédiatement commenté les résultats du chômage pour l'année 2007. «7,5 %, c'est un résultat historique. Il n'y a jamais eu aussi peu de chômage en France, depuis vingt-cinq ans», s'est-il réjoui. Puis il a visité le centre de formation des apprentis de Franche-Comté. Coiffeurs, pâtissiers, mécaniciens : Nicolas Sarkozy a échangé un mot avec chacun, en petit comité. «Ce soir, toi, tu sors ?», a-t-il dit à l'une des esthéticiennes qui prêtait son visage pour un test de maquillage.
Date : 07 / 03 / 2008

Des retraités manifestent pour une hausse des pensions
LeFigaro.fr Trouver l'article
Les syndicats réclament une revalorisation immédiate des retraites, des rassemblements devraient avoir lieu jeudi à Paris et en province. Les syndicats appellent les retraités à manifester jeudi à Paris, en direction de Matignon, et dans la plupart des départements. Les unions de retraités CGT, CFDT, FO, CGC, CFTC, la Fédération des retraités de la fonction publique, l'Unsa-retraités et la FSU (enseignants) veulent une revalorisation immédiate et «significative» des retraites. Les pensions de base n'ont été relevées que de 1,1 % le 1er janvier, parce qu'elles avaient été «trop» augmentées en 2007 (au-dessus de l'inflation). Mais depuis, la valse des étiquettes s'est accélérée… Le ministre du Travail et des Relations sociales, Xavier Bertrand, a plusieurs fois répété qu'un nouveau relèvement serait proposé lors du «rendez-vous retraite» du deuxième trimestre. Nicolas Sarkozy a aussi accordé 200 euros d'«avance» sur la revalorisation du minimum vieillesse, qui devraient être versés fin mars. Mais cela vise moins de 700 000 personnes, dont les carrières sont incomplètes. Le minimum contributif (carrières complètes à bas salaires), dont bénéficient 4,1 millions de personnes et que le chef de l'État a promis de revaloriser sur le quinquennat, n'est pas concerné.
Date : 06 / 03 / 2008

Cecilia ex-Sarkozy va se remarier
Libération.fr Trouver l'article
L'ex-épouse du chef de l'Etat va épouser le publicitaire Richard Attias à New York, annonce la maison de couture Versace. L'ex-épouse du président Sarkozy, Cecilia Ciganer-Albeniz, va épouser le publicitaire Richard Attias ce mois-ci à New York, affirme l'antenne new-yorkaise de la maison de couture Versace. Dans un bref communiqué, la maison de couture annonce que le couple «a choisi de porter du Versace à l'occasion de son mariage, qui aura lieu à New York ce mois-ci». Le divorce de Nicolas et Cecilia Sarkozy avait été annoncé le 18 octobre dernier. Le chef de l'Etat s'est remarié avec Carla Bruni le 2 février à l'Elysée.
Date : 05 / 03 / 2008

Oliver Sarkozy, banquier d'affaires vedette d'UBS, recruté par Carlyle
LeFigaro.fr Trouver l'article
Par Carole Bellemare et Caroline Beyer - Il est le demi-frère de Nicolas Sarkozy; mais surtout, à 37 ans, une vedette du monde bancaire new-yorkais. L'un des plus talentueux. En 2002, Credit Suisse avait tenté de le retenir avec un gros bonus. Peine perdue : UBS avait fait mieux. Et aujourd'hui c'est Carlyle, une des plus grosses sociétés mondiales d'investissement, qui s'attache son expertise, sa fibre internationale et son carnet d'adresses. Oliver Sarkozy, jusque-là codirigeant de la branche institutions financières de la banque d'investissement UBS, copilotera dès avril l'activité mondiale de services financiers de la firme de LBO cofondée (en 1987) et dirigée par David M. Rubenstein. Et cet ancien de l'administration Carter de s'en féliciter : «L'arrivée d'Oliver à la tête de notre équipe récemment constituée va permettre à Carlyle de se positionner avec succès sur le secteur mondial et actuellement chahuté des services financiers.» Carlyle, dont Abu Dhabi est devenu à l'automne le premier actionnaire indépendant (7,5% du capital), veut donc passer à l'offensive… «J'ai hâte de participer à cette aventure, aux côtés de Dave Zwiener (l'autre dirigeant, NDLR) et de faire de Carlyle un acteur de référence dans ce secteur d'investissement de plus en plus important», se réjouit Oliver Sarkozy. Comme Forbes le soulignait, si l'on a beaucoup fait état des liens du président avec les financiers français, on a peu parlé de sa proximité avec ce demi-frère new-yorkais, brillant et influent. Pierre-Olivier (son vrai prénom) était présent à Paris le 6 mai pour fêter sa victoire et, lors de son voyage présidentiel à New York, ce dernier avait organisé une grande soirée en son honneur. Grand, élégant et avenant, ce père de deux enfants, marié à une Française (une nièce du Pr Jean Bernard), est le fils de Paul Sarkozy et de Christine de Ganay, remariée ensuite à un diplomate américain. Enfance voyageuse et diplôme en histoire médiévale de la prestigieuse St Andrews U
Date : 04 / 03 / 2008

Sarkozy et Fillon : les pistes pour l'après-municipales
LeFigaro.fr Trouver l'article
Les rencontres se sont espacées entre Nicolas Sarkozy et François Fillon. Chacun semble mener désormais sa vie dans son coin en attendant le verdict des Français aux élections municipales et un inévitable remaniement gouvernemental. Dans les sondages, le président baisse et le premier ministre monte. Un croisement qui crée une situation sensible au sommet de l'État. À L'Élysée et à Matignon, personne ne se souvient de la date du dernier tête-à-tête entre Nicolas Sarkozy et François Fillon. «Ils se voient avant le Conseil des ministres mais ce n'est jamais très long», admet un familier des deux hommes. Il arrive même que Nicolas Sarkozy fasse l'impasse sur cet entretien pourtant rituel du mercredi matin. Depuis le début de l'année, leurs relations suivent la courbe des sondages. Autrement dit, elles s'espacent. Dernière enquête en date, celle de LH2, qui paraît ce matin dans Libération : quatre points de moins pour Sarkozy (à 37 %), six points de plus pour Fillon (53 %). Tout se passe comme si les deux hommes étaient dans une période de «non-relation». Oubliées, l'époque des joggings en commun et la complicité des premiers mois du quinquennat, où François Fillon promettait aux Français «un tandem comme ils n'en ont jamais vu» . Chacun semble mener désormais sa vie dans son coin. Aujourd'hui, le premier ministre bat la campagne des municipales il sera notamment mardi à Lyon , enchaîne les interventions à la télévision (deux en deux semaines) et fait tourner la maison Matignon. Le président, lui, multiplie déplacements en France et à l'étranger pour tenter d'enrayer sa dégringolade dans les sondages. Chacun attendant, en réalité, le verdict des Français pour repartir du bon pied après le 16 mars et un inévitable remaniement gouvernemental. Repartir avec quelle équipe ? «Dans la tête du président, la question du maintien de François Fillon n'est pas tranchée», affirme un dirigeant de la majorité. Bien sûr, il n'y a pas trace récente de clash entre eux et si leurs
Date : 03 / 03 / 2008

Howlett: "Sarkozy, c'est une suspension de la démocratie"
Rue89.com Trouver l'article
Par Hubert Artus (Rue89) - Pour le 02/03/2008 - La semaine prochaine paraît un essai des plus féroces contre la fausse rupture et l’exploitation de l’émotivité à l’œuvre dans les pratiques sarkozyennes du pouvoir. "Triomphe de la vulgarité" est un essai politique et philosophique. Son auteur, Marc-Vincent Howlett, n’est pas encore connu du public, mais sa colère, la justesse de sa rhétorique et la précision de ses attaques lui feront rencontrer… notre époque. Rencontre, en avant-première. "Triomphe de la vulgarité": un titre qui tombe bien, qui sonne vrai et juste dans la France de 2008, celle du trou noir "bling bling". A l’heure où l’on distingue un peu moins facilement intellectuels de droite et intellectuels de gauche, Howlett est de ceux qui repositionnent les curseurs. C’est sous le coup non pas d’une colère, mais de ce que Marc-Vincent Howlett qualifie lui-même d’une "dépression politique" qu’est né ce livre. Jusqu’ici, cet ancien de la Gauche Prolétarienne, aujourd’hui enseignant à l’Ecole Supérieure des Arts Appliqués à Paris, n’avait écrit que sur Rousseau ou Tchekhov. La semaine prochaine, il fera paraître un essai qui, plus que tout article ou livre déjà paru sur l’occupant de l’Elysée, pointe les déviances politiques à l’œuvre dans la "France d’après". Un livre qui statue sur le trafic d’influence ourdi par la droite sarkozyenne sur nos émotions, installant un régime qui est devenu une "démocratie empathique". Une cristallisation qui libère une "vulgarité triomphante". Dont le livre va analyser les points d’encrage. La "démocratie empathique" "Nous sommes entrés dans une période de normalisation comme on en a rarement connu: tout concourt à ce que "Tout-un-chacun" se reconnaisse au travers d‘un petit nombre de valeurs et s‘y conforme." Ainsi débute l’ouvrage. Pour Howlett, cette banalisation du citoyen, qui gomme ce qui fait nos différences, et donc nos complémentarités, est une trace de rabaissement. De vulgarité. La base du popu
Date : 02 / 03 / 2008

Pour Bernadette Chirac, «Sarkozy est fantastique»
LeFigaro.fr Trouver l'article
L'ex-première dame de France veut «offrir quelques succès électoraux au président de la République». Elle est repartie en campagne comme aux plus beaux jours. Neuf mois après son départ de l'Élysée, Bernadette Chirac, qui se définit comme «supporter » de Nicolas Sarkozy, a repris son bâton de pèlerin. Elle-même est conseillère générale non renouvelable du canton de Corrèze, au cœur de la Haute-Corrèze dont elle craint la désertification et le vieillissement de la population. Alors pendant toute la semaine, elle est allée sur le terrain pour soutenir des candidats aux cantonales dans ce département qui fut le fief électoral de Jacques Chirac. «La Corrèze sans son chef…», dit-elle avec une pointe d'inquiétude. Car aujourd'hui, François Hollande brigue la présidence du conseil général et la partie s'annonce serrée entre la droite et la gauche. Maire de Tulle, le premier secrétaire du PS se présente dans un canton qui vote plutôt à gauche et dont le conseiller général sortant, UMP, ne se représente pas. Chaussures à talons plats façon tennis aux pieds, l'ex-première dame de France était jeudi à Brive pour soutenir Claude Nougein, vice-président du conseil général sortant, qui fait campagne pour sa réélection dans le canton de Brive Nord-Est. «Faire campagne, serrer des mains, aller à la rencontre des gens, j'adore ça», dit-elle. «L'essentiel, c'est de donner de l'écoute». Très consciencieusement, cette perfectionniste fait du porte-à-porte, rend visite à une personne âgée isolée, fait le tour des commerçants de la Roseraie, un quartier résidentiel tranquille, avant de participer à une table ronde avec les associations. «Il faut m'emmener dans les quartiers difficiles. Vous avez peur ?», lance-t-elle, amusée, à Claude Nougein. Dans l'après-midi, elle arpente le centre piétonnier, avec le sénateur maire UMP Bernard Murat, qui voit en elle «le meilleur homme politique en Corrèze». C'est en 2001, en pleine cohabitation, que Bernadette Chirac s'est imposée sur le devant
Date : 01 / 03 / 2008



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