SELECT num, jour, mois, an FROM `sarko` WHERE num = ( SELECT MAX(num) FROM `sarko` )
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La Sarkronique : Les chroniques quotidiennes des aventures de notre président Nicolas Sarkozy


Derniere mise à jour le : 20 / 03 / 2018
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SELECT DISTINCT an, mois FROM `sarko` ORDER BY an, mois ASC
Nb Result = 33
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2008

La Sarkronique du mois de Février 2008

SELECT * FROM `sarko` WHERE mois = '02' AND an = '2008' ORDER BY an, mois, jour ASC
Nb Result = 29
Le couple Sarkozy rencontre Nelson Mandela
LeFigaro.fr Trouver l'article
Le président français a exposé sa politique africaine au prix Nobel de la paix. Carla Bruni a annoncé qu'elle souhaitait «s'engager dans l'humanitaire». La photo marquera peut-être le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat français et son épouse Carla Bruni ont rencontré le prix Nobel de la paix Nelson Mandela au siège de sa fondation, après avoir visité l'île de Robben island où il a été détenu pendant 18 ans. L'entretien, «très chaleureux et amical» selon l'entourage du chef de l'Etat, a duré 40 minutes. Nicolas Sarkozy a présenté sa politique africaine à Mandela qui «a marqué son approbation». «Nous avons eu une conversation avec lui. Il est en pleine forme et c'était vraiment très intéressant de parler avec lui», a confirmé ensuite le président français. «Nelson Mandela représente un espoir pour l'humanité. C'est un homme qui est responsable de la réussite exceptionnelle de l'Afrique du Sud, de cette coexistence multiethnique. C'est un symbole pour beaucoup d'entre nous.»
Date : 29 / 02 / 2008

Salaires: Jospin répond à Sarkozy
France2.fr Trouver l'article
L'ancien Premier ministre rejette les arguments avancés par le chef de l'Etat pour justifier la hausse de son salaire Dans un entretien mardi au Parisien/Aujourd'hui, Nicolas Sarkozy avait expliqué vouloir aligner ses émoluements sur ceux du locataire de Matignon. Il avait affirmé : "Qui a fixé le salaire du Premier ministre ? Lionel Jospin." "C'est faux", réplique celui-ci dans une lettre jeudi au même journal, car son salaire "était fixé par décret" présidentiel. A l'automne 2007, la hausse substantielle du salaire de Nicolas Sarkozy, censé s'aligner sur le traitement du Premier ministre, avait provoqué l'émoi d'une partie de l'opinion publique, relayée par des critiques virulentes à gauche. Rappel des propos de Sarkozy dans Le Parisien Mardi, dans Le Parisien/Aujourd'hui en France, et alors que sa cote de popularité est en chute depuis quelques semaines, Nicolas Sarkozy s'est lancé dans un argumentaire sur son salaire. Il a expliqué qu'il a voulu "gagner exactement comme le Premier ministre", soit "19.177 euros", tandis que Jacques Chirac en gagnait "20.000", cumulant 10.000 euros de salaire comme président et "toutes ses retraites". "Qui a fixé le salaire du Premier ministre ? Lionel Jospin. Quand Lionel Jospin dit que le Premier ministre doit gagner 20.000 euros, il n y a pas de polémique parce qu'il est de gauche", a déclaré Nicolas Sarkozy. "Et on dit : 'Sarkozy augmente de 140% son salaire!'. Où ont-ils vu ça ?" La mise au point de Jospin dans Le Parisien Lionel Jospin affirme que Nicolas Sarkozy a "malheureusement fondé son argumentation sur deux contrevérités" : "Il a prétendu que j'aurais fixé moi-même le salaire du Premier ministre (c'est-à-dire mon propre salaire). C'est faux. Mon traitement était fixé, comme celui des ministres, par décret du président de la République." Lionel Jospin poursuit : Nicolas Sarkozy "a affirmé que ce montant était de 20.000 euros. C'est encore faux." Il explique ensuite qu'à son arrivée à Matignon en 1997, son sala
Date : 28 / 02 / 2008

Sarkozy au Parisien : le mini-mea culpa a été rajouté
France-Info.com Trouver l'article
Le quotidien Le Parisien/Aujourd’hui en France a organisé une rencontre entre un groupe de lecteurs et le président de la République. Dans l’entretien publié ce matin, Nicolas Sarkozy admet qu’il n’aurait pas dû répondre au visiteur du salon de l’agriculture. En réalité, ce passage a été rajouté après relecture par l’Elysée. C’est le directeur de la rédaction du Parisien/Aujourd’hui en France lui-même qui le révèle. L’esquisse de mea culpa publiée ce matin dans son journal n’a en réalité jamais eu lieu. Le quotidien a organisée une rencontre entre un panel de huit lecteurs et le président de la République pour un entretien à bâtons rompus.
Date : 27 / 02 / 2008

« Au Salon, j'aurais mieux fait de ne pas lui répondre »
LeParisien.fr Trouver l'article
C'est un entretien exceptionnel que le président de la République a accordé aux lecteurs du « Parisien » et d'« Aujourd'hui en France », hier à l'Elysée. Chute dans les sondages, mariage avec Carla, panne du pouvoir d'achat, affaire de la vidéo : Sarkozy. IL Y A PLUS de trois mois que l'Elysée avait dit oui - sans qu'une date ait été fixée - à l'idée d'un face-à-face entre un panel de nos lecteurs et le président de la République. Il y a une semaine, soudain, les choses se sont précisées. Et le mardi 19 février en fin de journée une date a été fixée : ce serait le lundi matin 25 à l'Elysée. Vite, nous avons constitué un panel, et rendez-vous a été pris. Le tout n'a donc strictement rien à voir avec l'affaire de la vidéo tournée samedi au Salon de l'agriculture, et qui bat tous les records sur le site du Parisien.fr. Avant d'être reçus par Nicolas Sarkozy à l'Elysée, nos lecteurs - compte tenu des horaires - ont préparé l'entretien en sélectionnant leurs questions dans une salle du palais mise à leur disposition. Alors que cette phase de préparation s'achevait hier matin, qui ont-ils vu surgir ? Carla Bruni-Sarkozy en personne, presque timide et souriante. Ayant appris leur présence, elle tenait, dit-elle, à saluer les lecteurs qui s'apprêtaient à questionner son mari. Tard hier soir, l'Elysée nous a fait parvenir sa version amendée et corrigée de cet entretien. La voici.
Date : 26 / 02 / 2008

Sarkozy victime de lui-même
Liberation.fr Trouver l'article
De LAURE EQUY, ANTOINE GUIRAL et MARION MOURGUE - Réplique musclée au Salon de l’agriculture, réaction controversée après la décision du Conseil constitutionnel sur la loi Dati : Nicolas Sarkozy est critiqué pour son manque de sérénité. «Protéger» le Président. C’est Jean-Pierre Raffarin qui l’a dit hier, en réclamant que le gouvernement et l’UMP «aident» davantage Nicolas Sarkozy. Le protéger de lui-même? Le sénateur de la Vienne n’est évidemment pas allé jusque-là, assurant même que le chef de l’Etat «ne ralentira pas». Mais si protection il doit y avoir, c’est bien que quelque chose ne tourne pas rond à l’Elysée. Alors que les sondages sont toujours à la baisse et que la cacophonie a dominé en fin de semaine dernière, retour sur un week-end, entre fébrilité manifeste au Salon de l’agriculture et bras-de-fer lourd de conséquences avec le Conseil constitutionnel. «Casse-toi alors, pauv’con» La perle du Salon de l’agriculture, filmée et diffusée sur le site du Parisien, a circulé allègrement sur Internet ce week-end. Lors de sa traversée éclair du salon samedi matin, en plein bain de foule, Sarkozy croise un visiteur récalcitrant qui refuse sa poignée de main. «Ah non, touche-moi pas», prévient-il. Le chef de l’Etat rétorque sans détour : «Casse-toi, alors.» «Tu me salis», embraye l’homme. Le sourire se crispe. Sarkozy lâche, desserrant à peine les dents, un raffiné «Casse-toi alors, pauv’con, va». Du plus bel effet. Le badaud n’est pas le premier à faire les frais des écarts verbaux d’un Sarkozy qui manque de sang-froid. Chahuté en novembre, lors de sa visite aux marins pêcheurs du Guilvinec, le Président avait piqué une colère. L’oreille chauffée par les insultes, il avait pris à parti l’un des pêcheurs: «C’est toi qui as dit ça? Ben descends un peu le dire, descends un peu…» La prise de becs du Salon de l’agriculture est plus discrète mais elle trahit l’humeur présidentielle du moment. A fleur de peau.
Date : 25 / 02 / 2008

François Fillon devance Nicolas Sarkozy de 19 points
LeFigaro.fr Trouver l'article
Selon un sondage IFOP, la côte de popularité du président a perdu 9 points en février, à 38%, tandis que celle de François Fillon en a gagné 7, à 57%, soit un écart record de 19 points entre les deux têtes de l'exécutif. Pas d'éclaircie sur le front des enquêtes d'opinion pour le chef de l'Etat. Dans un sondage IFOP à paraître dans le Journal du Dimanche , Nicolas Sarkozy accuse encore un nouveau dévissage et surtout un retard record de 19 points sur son premier ministre. Le président enregistre une baisse de 9 points de sa côte de popularité. Seulement 38% des Français interrogés se déclarent satisfait de son action contre 47% en janvier. Et ils sont de plus en plus nombreux à désapprouver sa politique : 62%, soit une hausse de dix points, se disent mécontents du président de la République. Une chute qui n'atteint pas la popularité de François Fillon qui poursuit son envolée. Insensible à la tourmente élyséenne, le premier ministre engrange 7 points de mieux que le mois dernier et retrouve, à 57%, un taux très proche de ses débuts à Matignon (62%). C'est donc un écart record- de 19 points- qui séparent les deux têtes de l'exécutif. Même chez les sympathisants UMP, le locataire de Matignon est passé devant. François Fillon, « un modèle plus rassurant »
Date : 24 / 02 / 2008

Rétention de sûreté : Rachida Dati justifie la démarche de Nicolas Sarkozy
LeMonde.fr Trouver l'article
Après la décision inédite de Nicolas Sarkozy de saisir la Cour de cassation en réponse à la censure partielle du projet de loi sur la rétention de sûreté par le Conseil constitutionnel, la Garde des Sceaux essaie de faire taire la polémique. "Il ne s'agit pas de remettre en cause la décision du Conseil constitutionnel, mais de proposer de nouvelles solutions", déclare Rachida Dati, samedi 23 février, dans Le Figaro. Le chef de l'Etat a demandé au premier président de la Cour de cassation Vincent Lamanda de faire des propositions permettant de rendre immédiatement applicable la rétention de sûreté aux criminels déjà condamnés - une mesure censurée par les Sages. Il faut "répondre concrètement au problème qui demeure : comment empêcher effectivement tous les criminels dangereux qui vont sortir de prison de récidiver. L'objectif est de protéger les victimes", explique Rachida Dati dans cet entretien.
Date : 23 / 02 / 2008

Sarkozy revendique l'héritage de de Gaulle
LeFigaro.fr Trouver l'article
Nicolas Sarkozy a invoqué les mânes de l'homme du 18 Juin lors de l'inauguration de l'Historial Charles-de-Gaulle, aux Invalides, devant l'amiral Philippe de Gaulle et Jacques Chirac. Le chef de l'État a dressé un parallèle entre les critiques dont il fait l'objet et celles, essuyées par le fondateur de la Ve République. Opération «résistance» pour Nicolas Sarkozy. Alors que son impopularité ne se dément pas dans les sondages, Nicolas Sarkozy a invoqué les mânes de l'homme du 18 Juin lors de l'inauguration de l'Historial Charles-de-Gaulle, aux Invalides. Devant l'amiral Philippe de Gaulle, Pierre Mazeaud, président de la Fondation Charles de Gaulle et Yves Guéna, devant Jacques Chirac aussi très applaudi , il a fait un long éloge du Général . Dans la cour d'honneur des Invalides, devant des élèves de deux lycées de Neuilly, le chef de l'État a tracé un parallèle implicite entre sa situation dans l'opinion et l'action du général de Gaulle. Nicolas Sarkozy a d'abord loué le pragmatisme du général de Gaulle, qu'il fait sien. «Il ne faut être prisonnier de rien si l'on veut avancer dans la forêt épaisse des réalités mouvantes», a-t-il dit en citant de Gaulle. Ajoutant aussitôt cette citation, taillée sur mesure pour la toise sarkozienne, au moment où il est critiqué pour ses annonces jugées intempestives sur la suppression de la publicité sur la télévision publique ou la transmission de la Shoah dès le primaire : «Si j'entends marcher librement, je ne marche pas pour autant au hasard.» En sortant du texte du discours, le chef de l'État a dit par deux fois, comme s'il en voulait souligner la difficulté de cette approche : «Que cette phrase puisse inspirer chacun de nous.» Une façon aussi de tenter de rassurer ceux qui, dans son propre camp, s'inquiètent et redoutent que le chef de l'État ait perdu le cap des réformes. Mais c'est un autre trait qui a retenu l'attention de Nicolas Sarkozy dans les années de Gaulle : aujourd'hui loué de toutes parts, il a été constammen
Date : 22 / 02 / 2008

En pleine polémique, Sarkozy tente de calmer le jeu sur les sectes
20Minutes.fr Trouver l'article
Déjà critiqué pour ses récentes sorties sur les religions et la laïcité, Nicolas Sarkozy s'est efforcé jeudi d'éteindre l'incendie allumé par les déclarations fracassantes de l'une de ses plus proches collaboratrices sur la lutte contre les sectes. En déplacement dans le Pas-de-Calais, le chef de l'Etat a tenu à afficher une position sans ambiguïté: "Ma position a toujours été claire. Les activités sectaires sont inacceptables, inadmissibles, il faut faire preuve de la plus grande fermeté". Même si elle en a partiellement démenti le contenu, sa directrice de cabinet Emmanuelle Mignon a mis le feu aux poudres en accordant mercredi un entretien à VSD dans lequel elle dit que les sectes constituent un "non-problème" en France, selon les propos qui lui sont prêtés par l'hebdomadaire. Dans cet entretien, Mme Mignon juge aussi "scandaleuse" la liste des mouvements sectaires dressée en 1995 par une commission d'enquête parlementaire et ne cache pas "s'interroger" sur la présence, sur cette liste, de la scientologie.
Date : 21 / 02 / 2008

19 février : Jean Sarkozy s'active en coulisses
LeFigaro.fr Trouver l'article
Jean Sarkozy en coulisses Jean Sarkozy rêve désormais d'être élu conseiller général des Hauts-de-Seine, lors de la cantonale partielle qui aura lieu le 9 mars. Écarté par Jean-Christophe Fromantin de la nouvelle liste d'union aux municipales de Neuilly, Jean Sarkozy, en accord avec l'UMP, ne devait plus faire parler de lui après le putsch anti-Martinon, mené avec ses colistiers Arnaud Teullé et Marie-Cécile Ménard. L'UMP avait négocié avec Fromantin que cette dernière, conseillère générale, aurait une place sur la nouvelle liste. C'était sans compter sur la détermination du fils du président. Celui-ci a discrètement rencontré Fromantin samedi matin pour lui proposer un deal : «Vous me laissez me présenter au conseil général, et vous ne prenez pas Marie-Cécile Ménard sur votre liste.» Une proposition que Fromantin s'est empressé d'accepter, trop content de laisser tomber une colistière dont il ne voulait pas. [...] Le chef de l'État prépare le remaniement Nicolas Sarkozy a déjeuné, hier, avec François Fillon, Michèle Alliot-Marie, Xavier Bertrand et Jean-Louis Borloo au restaurant Tante Louise, en plein cœur de Paris. Il a notamment parlé du remaniement et testé ses idées pour l'après-municipales auprès de ceux qu'il considère comme les poids lourds politiques du gouvernement.
Date : 20 / 02 / 2008

La Shoah sera au programme des CM2 à la rentrée
LeFigaro.fr Trouver l'article
Par Cécilia Gabizon - Le 18/02/2008 - Le nom de chaque enfant juif déporté ne sera plus confié à un élève, mais probablement à une classe. Ce qui a permis de rallier Simone Veil, qui était d'abord hostile au projet. La mémoire des 114 000 enfants juifs morts en déportation sera bel et bien au programme des CM2 à la rentrée 2008, « car la moitié des lycéens ne savent pas ce qu'est la Shoah » a insisté le ministre de l'Éducation nationale, Xavier Darcos. Mais le projet annoncé par Nicolas Sarkozy au dîner du Crif, va être affiné. D'ores et déjà, le nom de chacun des enfants juifs déportés ne sera plus confié à un élève, mais probablement à une classe. Cet aménagement a permis de rallier Simone Veil. L'ex-ministre et ancienne déportée s'était violemment élevée contre la proposition initiale, jugée « inimaginable, insoutenable, et injuste », entraînant dans son sillage une partie de l'opinion et des leaders politiques. Hier matin, Xavier Darcos l'a convaincue de participer à la mission chargée d'élaborer les instruments pédagogiques. Le ministre s'efforce maintenant de réunir des acteurs de la mémoire et des enseignants pour désamorcer la polémique.
Date : 19 / 02 / 2008

«Les caisses sont vides, les syndicats le savent»
LeFigaro.fr Trouver l'article
André Santini a repris ce matin cette expression polémique à quelques heures de l'ouverture d'une négociation sur la revalorisation des salaires des fonctionnaires. Eric Woerth assure de son côté que le pouvoir d'achat des agents de l'Etat sera garanti. C'est l'expression à la mode du quinquennat Sarkozy. Après François Fillon puis le chef de l'Etat lui-même, le secrétaire d'Etat à la Fonction publique André Santini a annoncé la couleur aux partenaires sociaux qui s'apprêtent à batailler dans les négociations sur la revalorisation des salaires des fonctionnaires : «Les caisses sont vides et les syndicalistes le savent très bien.» Il reprenait le journaliste de France 2 qui rappelait la hausse proposée par Eric Woerth de 0,5% du point d'indice, pour 1,6% d'inflation attendue cette année. En y ajoutant l'ancienneté, le paiement des heures supplémentaires et des mesures catégorielles, l'augmentation de la rémunération des fonctionnaires devrait atteindre 3,7% au total. André Santini estime que «3,7%, c'est largement au niveau du privé». Selon lui, les fonctionnaires «tiennent beaucoup» au point d'indice, se permettant même d'ironiser : «Il y a huit organisations syndicales, et c'est leur seul point commun.»
Date : 18 / 02 / 2008

Je vous écris de… Madrid - Scène de ménage épiscopale
Liberation.fr Trouver l'article
De Vicente Molina Foix Traduit de l’espagnol par Claude Bleton - Le 16/02/08 - La réception solennelle du président Sarkozy, en tant que chanoine honoraire de la basilique Saint-Jean-de-Latran, a été un moment pathétique pour beaucoup d’Espagnols. Ayant grandi sous la botte militaire du général Franco, cette image nous en rappelle d’autres, où le dictateur et ses ministres entraient en grande pompe dans nos belles cathédrales gothiques (Burgos, León, Saint-Jacques-de-Compostelle), sous le dais ecclésiastique, entourés d’un essaim de diacres et de cardinaux. A l’époque, il n’y avait pas de séparation entre l’Eglise et l’Etat et, comme le Vatican reste opposé au divorce, plus de trente ans après la fin du franquisme, la hiérarchie catholique espagnole persiste à prendre le gouvernement pour son époux monogame, et elle ne tolère aucune infidélité conjugale. Felipe González, le premier socialiste à gouverner en Espagne après la restauration de la démocratie, a bien fait quelques «entorses», mais il a été pardonné. En revanche, le comportement du Président actuel a mis les évêques sur les nerfs : non seulement José Luis Zapatero trahit l’Eglise en donnant une complète égalité aux femmes, mais il s’acoquine aussi avec les homosexuels (comme on le sait, l’Espagne est pionnière depuis la promulgation d’une loi en 2004, qui met sur un pied d’égalité les mariages homos et hétérosexuels).
Date : 17 / 02 / 2008

Le psychodrame de Neuilly continue à plomber l'UMP
Liberation.fr Trouver l'article
Marie-Cecile Menard, Patrick Devedjian, le maire de Neuilly Louis-Charles Bary et Jean Sarkozy, le 11 février. (Reuters) - Duel par mails interposés samedi entre le dissident Arnaud Teullé et le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian, alors qu'un sondage donne Jean-Christophe Fromantin gagnant dès le premier tour. Les esprits ont bien du mal à s'apaiser à l'UMP après le psychodrame pré-électoral qui a mis Neuilly et sa cuisine politicienne sur le devant de la scène. La direction de l'UMP et Arnaud Teullé, candidat dissident du parti aux municipales dans l'ancien fief de Nicolas Sarkozy, échangeaient samedi accusations et contre-accusations. Leur seul point d'entente: le duel risque de plomber encore un peu plus une image que les protagonistes s'accordent à juger atteinte. C'est le secrétaire général de l'UMP Patrick Devedjian qui a ouvert le feu, accusant Arnaud Teullé, dans un courrier électronique envoyé vendredi aux militants du département, d'avoir prémédité et précipité la sortie de piste de David Martinon, candidat imposé par le président de la République, au risque de compromettre la campagne nationale pour les municipales. «Arnaud Teullé, dans le plus grand secret, a fait réaliser un sondage destiné à démontrer que la campagne était vouée à l'échec, et à comparer sa propre popularité avec celle de David, dont il était pourtant censé être le principal soutien», assure Devedjian, par ailleurs patron de l'UMP départementale. Le sous-entendu semblant être que Teullé avait lui-même «fuité» le sondage dans Le Figaro du samedi 9 février... Et d'enfoncer le clou en affirmant qu'il avait lâché dès le lendemain le candidat officiel alors qu'il était «évidemment informé» que David Martinon «s'était engagé à se retirer».
Date : 16 / 02 / 2008

Une croissance en berne pour 2007
Liberation.fr Trouver l'article
Par Muriel Gremillet - L’Insee a publié hier les résultats de la croissance française pour 2007. Qui n’atteindra pas les 2 % et s’établit à 1,9 % sur l’ensemble de l’année. La ministre de l’Economie, Christine Lagarde, qualifie cette mauvaise performance de «reflux» et considère qu’elle n’est pas significative de l’état réel de l’activité française. Pourquoi la baisse de régime ? Qu’est-ce qui coince ? Quelles conséquences politiques ?
Date : 15 / 02 / 2008

A chaque enfant de CM2, la mémoire d'un enfant victime de la Shoah
Liberation.fr Trouver l'article
REUTERS - Nicolas Sarkozy veut qu'à partir de la rentrée scolaire 2008, chaque enfant de CM2 connaisse le nom et l'existence d'un enfant mort dans la Shoah. Le président Nicolas Sarkozy a annoncé mercredi qu'il voulait qu'à partir de la rentrée scolaire 2008 chaque élève de la classe primaire de CM2 se voie "confier la mémoire" d'un enfant français victime de la Shoah, mercredi lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de france (CRIF).a
Date : 14 / 02 / 2008

Nicolas Sarkozy et Carla Bruni attendent un bébé ?
CourrierInternational.com Trouver l'article
A en coire le magazine Point de Vue,à paraitre demain,le Président de la République Nicolas Sarkozy et sa femme Carla Bruni attendent un bébé. Simple rumeur ou information vraie ? Nous ne tarderons pas à le savoir. Mohamed chelhab
Date : 13 / 02 / 2008

En Guyane, Nicolas Sarkozy reconnaît "des difficultés" et "appelle au calme"
LeMonde.fr Trouver l'article
En visite en Guyane, Nicolas Sarkozy a réagi mardi 12 février aux turbulences que traverse actuellement sa majorité. "Tous les gouvernements, toutes le majorités, tous les présidents connaissent des moments plus ou moins faciles et il semble qu'il y ait des difficultés", a déclaré le chef de l'Etat. Alors qu'il connaît actuellement une chute dans les sondages de popularité (en baisse de 10 points à 39 % d'opinions favorables selon le baromètre Ipsos à paraître jeudi 14 février), Nicolas Sarkozy fait le gros dos : "Les difficultés, il faut les affronter avec sang-froid, avec humilité et continuer à travailler. Parce que moi, mon rendez-vous c'est la fin de mon quinquennat, j'ai pris des engagements devant les Français" .
Date : 12 / 02 / 2008

Lâché par Jean Sarkozy, David Martinon devrait renoncer à Neuilly
LePoint.fr Trouver l'article
Par Charlotte Chaffanjon - "Martinon, non, non, non !" Au son de ce slogan et sous les caméras de télévision, la campagne de David Martinon pour les municipales 2008 à Neuilly n'avait pas démarré sous les meilleurs auspices, le 30 septembre dernier. L'UMP locale l'accusait de parachutage, les militants ne voyaient pas d'un bon oeil cette candidature imposée par l'Élysée. De fait, l'aventure neuilléenne du porte-parole de l'Élysée pourrait tourner court et s'achever lundi. Patrick Devedjian, président du conseil général des Hauts-de-Seine, organise ce soir à 18 h 30 une réunion de crise pour régler le psychodrame qui s'est déroulé ce week-end dans la ville la plus riche de France. Mais David Martinon devrait devancer tout le monde en annonçant son retrait de la bataille des municipales. Il s'exprimera vers 11H15 dans un restaurant de Neuilly-sur-Seine. Le chef de l'État "n'a guère d'autre choix", selon Le Figaro Tout démarre samedi, alors qu'un court article du Figaro évoque un sondage secret prévoyant la défaite de David Martinon. Ce dernier ne serait crédité que de 40 % des voix face à Jean-Christophe Fromantin (45 %), candidat d'ancrage qui mène une liste de droite dissidente. Le quotidien affirme que le chef de l'État n'a "guère d'autre choix" que de sortir son porte-parole et de le remplacer par la numéro deux de sa liste, Marie-Cécile Ménard, qui a déjà hérité du siège de conseiller général. Dans un premier temps, Olivier Babeau, directeur de campagne de David Martinon, affirme que celui-ci "se maintient" et que "sa campagne suit normalement son cours".
Date : 11 / 02 / 2008

Pouvoir d'achat, image, Europe: les trois poisons de Sarkozy
Rue89.com Trouver l'article
Par Pascal Riché - Opération "Restore President": tel était clairement l'objet de l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy, dimanche soir, avec la Marseillaise et des accents gaulliens comme bande sonore. La dégringolade dans les sondages de Nicolas Sarkozy est en grande partie liée à l'image qu'il a donnée à la fonction présidentielle. Les deux dernières semaines, malgré son mariage, ont été terribles pour lui: sondages cata, reculade sur les taxis, présentation d'un piètre Plan banlieue, affaire du SMS de l'Obs et, pour finir, le bouquet: explosion en vol de son porte-parole David Martinon, candidat aux municipales de Neuilly... Il s'agissait donc, dimanche soir, devant les Français, de s'oindre de l'huile sacrée présidentielle. Une huile mêlant, dans la grande tradition, politique étrangère, institutions, Europe. Nicolas Sarkozy a annoncé le "retour de la France", vanté le vieux thème de "l'Europe-puissance" et s'est présenté comme le rassembleur des partisans du oui et de ceux du non... Nul doute que Nicolas Sarkozy rame, et que cet exercice continuera jusqu'en 2012. Il a certes été bien élu, avec une majorité confortable. Mais son mandat est affecté par trois poisons, des poisons lents, dont il aura du mal a se défaire.
Date : 10 / 02 / 2008

Faute de moyens financiers, M. Sarkozy mise sur la responsabilité individuelle dans les banlieues
LeMonde.fr Trouver l'article
A défaut du "plan Marshall" promis pour les banlieues, Nicolas Sarkozy a défendu, vendredi 8 février, à l'Elysée, une nouvelle philosophie de la politique de la ville, appuyée sur le constat que l'Etat ne pouvait pas résoudre seul les difficultés des quartiers. Dressant le bilan de vingt années d'échec, le président de la République a appelé de nouveaux acteurs, notamment les entreprises, à devenir partenaires de la politique de la ville. L'absence de moyens financiers spécifiques et de dispositifs réellement novateurs a provoqué des réactions critiques d'élus et de responsables associatifs. M. Sarkozy s'est placé dans une logique de "donnant-donnant". Il a ainsi exhorté les jeunes en difficulté à se prendre en main : "Il faudra se lever tôt le matin et mériter la confiance de l'Etat." "Ceux qui sont prêts à faire quelque chose pour eux-mêmes, l'Etat les aidera. Ceux qui ne veulent rien faire, l'Etat ne fera rien pour eux", a-t-il expliqué devant le millier de personnes invitées à l'Elysée. Principal outil annoncé en faveur de l'emploi : le contrat d'autonomie. Il sera signé par "tous les jeunes qui le veulent" avec des entreprises spécialisées dans l'insertion professionnelle, qui seront rémunérées au résultat. Ces organismes apprendront à ceux qui en ont besoin "les codes nécessaires à l'insertion dans l'entreprise". "Si les termes du contrat sont respectés, si le jeune est assidu, s'il fait des efforts, s'il travaille, il bénéficiera d'une bourse."
Date : 09 / 02 / 2008

Nicolas Sarkozy nie le SMS à Cécilia dans sa plainte judiciaire
LeMonde.fr Trouver l'article
PARIS (Reuters) - Le président Nicolas Sarkozy nie, dans la plainte pénale déposée contre Le Nouvel Observateur, avoir envoyé un SMS à son ex-épouse Cécilia lui proposant de revenir en échange de l'abandon du mariage avec Carla Bruni, a-t-on appris de source judiciaire. Le SMS en question qu'aurait reçu Cécilia Sarkozy est un "faux", dit Me Thierry Herzog dans la plainte déposée au parquet de Paris jeudi, et l'hebdomadaire est juridiquement "receleur" de ce faux. Le bureau du procureur Jean-Claude Marin a dit vendredi à Reuters avoir mis à l'étude "pour en examiner les implications juridiques" cette plainte pour "faux, usage de faux et recel", inédite sous la Ve République. C'est en effet la première fois qu'un président de la République dépose plainte au pénal contre un organe de presse. Une enquête de police supposerait, pour établir le "faux", un examen des téléphones impliqués dans l'échange. "On ne peut pas considérer que le président de la République doit être mieux traité qu'un autre citoyen, mis il ne doit pas non plus être moins bien traité", a déclaré Me Herzog sur RTL. "Celui qui écrit des faux aussi grossiers, qui propage des informations aussi mensongères, qui au fond ne sert qu'un objectif, celui de la calomnie pour vendre et pour obtenir des connexions, n'est pas à l'abri de poursuites pénales", a-t-il ajouté. Dans un article publié sur son site internet mercredi 6 février, Le Nouvel observateur affirme que pendant les préparatifs de son mariage avec Carla Bruni, le chef de l'Etat a écrit à Cécilia dans un SMS : "si tu reviens, j'annule tout". L'article ne figurait plus sur le site nouvelobs.com vendredi.
Date : 08 / 02 / 2008

A un mois des municipales, Sarkozy chouchoute les électeurs de droite
Liberation.fr Trouver l'article
De F.V. - Le 07/02/2008 - Devant sa chute dans les sondages et la majorité qui ne cache plus ses désaccords, le président joue à nouveau le candidat et tente de rassurer ses électeurs par des mesures ciblées. Geste envers les personnes âgées, visite à des ouvriers menacés de chômage, concession aux taxis en colère: le président Nicolas Sarkozy, en chute libre dans les sondages, se démène pour tenter d'endiguer la grogne et éviter un vote sanction aux municipales en mars. Depuis quelques jours, le président a en effet ressorti son costume de candidat, annonces et promesses se succédant. Après la séquence people et paillettes, Nicolas Sarkozy tente de reprendre la main face à une opinion mécontente sur le pouvoir d'achat et agacée par l'affichage d’une vie privée et d’un bonheur ostentatoire avec Carla Bruni. Sondages en chute libre Les sondages en chute libre et le mécontentement affiché des élus UMP en vue des élections municipales qui pourraient prendre l’allure d’un premier vote sanction, ont obligé Nicolas Sarkozy a réagir. A un mois du premier tour (9 mars), il multiplie les signaux envers son électorat et joue beaucoup plus profil bas. Hier, le chef de l'Etat a ainsi annoncé le versement d'une prime de 200 euros à quelque 600 000 retraités, un geste présenté comme la première étape d'un de ses engagements de campagne, la revalorisation des petites retraites. Le même jour, le projet de réforme du métier de taxi, extrêmement impopulaire au sein de cette profession votant traditionnellement à droite, a été implicitement enterré par le gouvernement. Et tant pis si le gouvernement cède aux chauffeurs de taxi, alors qu’il a tenu tête aux étudiants et aux cheminots.
Date : 07 / 02 / 2008

Sarkozy donne rendez-vous au Bristol
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De Elise Karlin - le 06/02/2008 - A deux pas de l'Elysée, le palace parisien est devenu l'un des lieux de prédilection du chef de l'Etat. Pas seulement pour son mi-cuit au chocolat. La porte dérobée se dissimule au fond du jardin, sous une treille de rosiers. Elle permet de quitter discrètement le Bristol par une rue adjacente et d'éviter l'entrée principale du Faubourg-Saint-Honoré. Le 12 janvier, Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont songé à l'emprunter après le déjeuner, pour échapper à la meute de photographes qui les guettait devant le palace parisien. A l'intérieur, pourtant, comme à l'accoutumée, le président de la République n'avait en rien cherché la discrétion, attablé au bar avec sa compagne. C'est même lui qui avait choisi, plutôt que la salle fermée du restaurant gastronomique, de s'installer dans ce salon ouvert sur le hall, pour le plus grand bonheur des curieux. Un petit coin discret, dans l'alcôve, au fond à droite? Certes pas. Les fauteuils au milieu, s'il vous plaît, ceux d'où vous pouvez être vus depuis le palier de l'entrée, entre l'accueil et le concierge... Ici, l'expresso coûte 9 euros, la chambre, environ 800 euros, une suite, 2 200 euros. Ici, dit Pierre Ferchaud, le PDG du Bristol, «lorsqu'on ne vous regarde pas, c'est qu'on vous écoute.» Il y a longtemps que Nicolas Sarkozy «fréquente» le Bristol. Dans l'hôtel, certains se souviennent qu'il accompagnait déjà Edouard Balladur entre 1993 et 1995. En 2005, alors que le maire de Neuilly reprend ses fonctions de ministre de l'Intérieur à quelques encablures du palace, sa femme investit la place: de retour de son escapade américaine, Cécilia Sarkozy y reçoit ses rendez-vous. Autour des tables basses, dans les profondeurs des canapés crème, les alliances se scellent et se dénouent - malgré les dénégations des intéressés, Mme «ex» -Sarkozy reste persuadée que ses pires ennemis, dans l'entourage de son mari, ont fourbi leurs armes et parfait leurs trahisons sous les lustres du Bristol. Elle n'y e
Date : 06 / 02 / 2008

Sarkozy redonne espoir à la Lorraine
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De Elsa Bembaron - Le 05/02/2008 - Lors de sa visite à Gandrange, Nicolas Sarkozy a évoqué la miseen place d'un plan de formation pris en charge par l'État. Le chef de l'État défend le volontarisme industriel et s'engage à investir dans le site lorrain d'ArcelorMittal de Gandrange. Les salariés d'ArcelorMittal à Gandrange (Moselle) ont retrouvé des raisons d'espérer, après la visite éclair de Nicolas Sarkozy hier matin. Il y a quinze jours, c'était la déprime. ArcelorMittal annonçait la fermeture de l'aciérie et d'un des deux laminoirs, soit la disparition de 595 postes, sans suppressions d'emplois, sur un total de 1 100. La direction s'était engagée à reclasser dans ses usines à proximité tous les salariés qui n'étaient pas concernés par un départ à la retraite. Changement de ton hier matin, après la venue du chef de l'État, qui a déclaré qu'«un pays où il n'y a plus d'usines est un pays où il n'y a plus d'économie». Avant d'ajouter que «l'État préfère investir pour moderniser le site plutôt que de payer pour accompagner des gens, soit en préretraite, soit au chômage». Bien décidé à trouver une issue convenable, Nicolas Sarkozy a promis de revenir lui-même pour «annoncer la solution qu'on aura trouvé». «Cette visite était extrêmement intéressante , s'enthousiasme Xavier Phan Dinh, délégué CGT à Gandrange. M. Sarkozy s'est dit prêt à écouter le contre-projet industriel que nous préparons. Cela devrait permettre la survie du site. » Reste une question : comment l'État peut-il intervenir dans une entreprise largement bénéficiaire, sans heurter les règles de la concurrence ? «Nicolas Sarkozy a mis sa crédibilité en jeu. Nous souhaitons qu'il tienne ses engagements, au-delà des élections municipales», ajoute la CGT.
Date : 05 / 02 / 2008

Sarkozy se marie sous les sifflets
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De ALAIN AUFFRAY - Le lundi 4 février 2008 - Marié ce week-end avec Carla Bruni, le Président enregistre une chute de treize points dans notre sondage LH2. Le chaud. Le froid. L’intimité du bonheur. L’exposition de la déconvenue. Un mariage, samedi, avec Carla Bruni. Un divorce hier, avec les Français. Et à l’arrivée, un week-end politique décisif où tout s’emmêle, vie privée et cote d’amour publique. Avec d’un côté, le premier chef de l’Etat ayant divorcé en cours de mandat qui se marie quelques semaines plus tard avec une chanteuse et ex-mannequin. De l’autre, la confirmation par l’institut LH2, dans une enquête réalisée pour Libération, d’une chute extraordinaire de la cote de confiance du Président : seulement 41% des Français avaient de lui, ce week-end, une opinion positive, contre 54 % au début du mois de janvier. Choc de défiance. Pour François Miquet-Marty, directeur des études à l’institut LH2, cette défection massive n’a qu’un précédent, celui de Jacques Chirac en 1996. A l’époque, les Français étaient déçus par celui qui avait promis de combattre la «fracture sociale». Aujourd’hui, le fiasco du «choc de confiance» annoncé par Sarkozy provoque en retour un véritable «choc de défiance» qui, à cinq semaines des municipales, provoque la panique chez les candidats de l’UMP.
Date : 04 / 02 / 2008

Pouvoir d'achat et vie privée font de nouveau chuter Nicolas Sarkozy dans un sondage
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Le 03.02.08 - Nicolas Sarkozy subit une chute de 13 points de sa cote de confiance avec, pour la première fois, une majorité de 55 % d'opinions négatives, selon un sondage LH2-Libération réalisé avant et après l'annonce de son mariage avec Carla Bruni. Dans ce sondage à paraître lundi 4 février, seulement 41 % des personnes interrogées ont une opinion positive du chef de l'Etat. Début janvier, la cote de confiance du président était positive pour 54 % des Français. L'érosion progressive de cette cote de confiance de M. Sarkozy depuis son arrivée à l'Elysée, de 67 % en juillet 2007 à 54 % en janvier, s'est subitement accélérée entre janvier et février. En baisse de trois points avec 47 % d'opinions positives, le premier ministre François Fillon, devance le chef de l'Etat de 6 points.
Date : 03 / 02 / 2008

Quand un gendarme de l'Elysée joue au photojournaliste
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De Claire Guillot - Le 02.02.08 - La photo du président en visite en banlieue à Sartrouville (Yvelines), parue dans Le Parisien, Le Figaro et Libération mardi 22 janvier, n'a pas été signée d'un photojournaliste. C'est un gendarme, Laurent Blevennec, qui en est l'auteur. La légende des journaux, pourtant, n'en dit rien. Et aucun autre photographe n'a couvert la rencontre de Nicolas Sarkozy avec les jeunes. Comment une image officielle, signée par un membre du service photo de l'Elysée, peut-elle ainsi se retrouver sans avertissement dans les quotidiens ? Deux journalistes de Libération ont mené l'enquête : la photographie en question a été récupérée par l'agence Reuters, qui l'a ensuite distribuée à ses clients et aux autres agences. En précisant "HO/Elysée Palace". "HO", en langage d'agence, signifie "Hand Out", distribution. Chez Reuters, on apprécie peu l'article paru dans Libération lundi 28 janvier : "La source était très claire. Tous les services photo savent ce que "HO" veut dire. C'est la responsabilité des journaux d'informer leurs lecteurs. Récupérer des images auprès de sources officielles n'a rien d'extraordinaire." Sauf que cela arrive rarement en France, où M. Sarkozy est suivi en permanence par une nuée de photographes. "On préfère bien sûr avoir nos propres images. C'était un dépannage", dit-on chez Reuters. Que s'est-il donc passé à Sartrouville pour que la presse rate ce moment où M. Sarkozy dialogue avec des jeunes ? Sur place, les photographes étaient organisés en pool : pour éviter la cohue, un seul travaille pour toutes les agences filaires, un autre pour les magazines et un pour la presse nationale. "Les services de l'Elysée nous avaient dit d'attendre au commissariat, explique un membre du pool. Nicolas Sarkozy devait y faire une conférence de presse."
Date : 02 / 02 / 2008

À Nice, le coup de main de Sarkozy à Estrosi
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De Charles Jaigu - Le 01/02/2008 - Le maire de Nice, Jacques Peyrat, ironise sur le soutien à son rival UMP. LE HASARD fait bien les choses : quand les sondages flanchent, le chef de l'État aime se ressourcer dans le département le plus sarkozyste de France. Il s'est rendu hier dans les Alpes-Maritimes pour lancer le plan Alzheimer (lire en pages Sciences). Nicolas Sarkozy a visité un établissement d'accueil pour les patients atteints de la maladie d'Alzheimer, tenu par l'ordre de Malte. Il était notamment accompagné de Christian Estrosi, son secrétaire d'État à l'Outre-Mer, président du conseil général, candidat à la mairie de Nice et grand favori dans les sondages. Mais le sénateur maire de Nice, Jacques Peyrat, candidat à sa propre succession, était également présent. L'ancien para désormais en rupture de ban avec l'UMP, s'en est pris au soutien du chef de l'État à Estrosi : « C'est évident, ça crève les yeux (…) C'est la République des camarades. On ne l'empêchera pas », a-t-il lâché. Tradition républicaine oblige, Sarkozy a salué Peyrat. « Il lui était difficile de ne pas le faire. D'abord parce que nous nous connaissons bien, ensuite parce que j'ai fait voter pour lui » à l'élection présidentielle de 2007, a commenté le maire de Nice, qui a également échangé une poignée de main avec Estrosi.
Date : 01 / 02 / 2008



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